
(comme précisé dans l'article ci-après http://www.elbakin.net/fantasy/news/en- ... x-editeurs)

Un pote est édité aux moutons électriques http://www.moutons-electriques.fr/livre-121 et le connaissant.....ça va déchirer

Oui c'est le seul nom qui me soit venu à l'esprit. Un style et un ton de qualité mais bien singuliers.Mimi a écrit :une critique sur Elbakin fait la même réflexion
http://www.elbakin.net/fantasy/roman/manesh-4315
Perso je la trouve bizarre...
Il y a une interview de l'auteur ici http://issuu.com/61577/docs/l_ind___num ... temps_2014
Voilà, enfin une critique qui fait un peu envie.Fabien Lyraud a écrit :Steffan Plateau nous donne ici une intéressante fantasy d'inspiration indienne. Mais il rajoute ça et là des éléments celtes pour façonner une culture intéressante et dépaysante. Mais la mythologie si elle est d'inspiration indienne bascule dans le Lovecraftien avec sa gigantomachie, ses dieux maudits du Vintou et ses géants Nendou. Bref un beau mélange qui prend très bien. Le récit d'exploration et de remontée du fleuve ne peut qu'évoquer Apocalypse Now. Et le récit de batard renvoie au 1001 nuits et à un autre récit celui de Schérazade, Manesh construisant sa manière de raconter de la même manière en étant le plus lent possible pour. Et l'auteur nous laisse sur un cliffhanger assez insoutenable à la fin.SpoilerAfficheréchapper à un sort funeste
Tout est bien vu dans ce roman. Cette guerre civile dont les hommes ne sont que des pions entre les mains de leur suzerain et qui monte le frère contre le frère. Une guerre insoutenable qui peut être va profiter à d'autres qui agissent dans l'ombre.
Le seul défaut sans doute qu'il demeure encore quelques longueurs.SpoilerAfficherLa poursuite du semeur de feu par Manesh aurait largement pu être dégraissée.
Ouais, cela fait re envie tout ça. D'un autre côté, que serait du Howard like sans une touche lovecraftienne ?Fabien Lyraud a écrit :On commence comme du Jaworsky et on termine comme du Howard. Les derniers chapitres ont des moments carrément pulp.
De même le basculement dans une ambiance presque lovecraftienne est très bien géré ( et certains ne les ont pas vu, mais c'est normal), avec ces ruines mystérieuses sur une île au milieu d'un lac et ces évocations de la gigantomachie et des autres éléments mythologiques.
Et quelque part le monde créé par Steffan Plateau n'est pas sans évoquer Glorantha, l'univers de Runequest.