Un fils en mal d’affection et son père, ancien boxeur au bout du rouleau, affrontent par robots interposés une bombasse russe pleine aux as et un génie japonais misanthrope.Résumé wikipédia :
Dans un futur proche, la boxe a évolué pour devenir un sport high-tech. Charlie Kenton, un ancien boxeur, a perdu toute chance de remporter le championnat depuis que les humains ont été remplacés sur le ring par des robots d'acier de 900 kg et de 2,40 m de haut. À présent, il n'est plus qu'un manager minable qui utilise des robots bas de gamme fabriqués à partir de pièces de récupération. Il gagne juste assez pour survivre d'un combat à l'autre.
Lorsque l'ex-femme de Charlie meurt, il doit s'occuper de la garde de son fils Max, qu'il a perdu de vue depuis plusieurs années, tandis que la sœur de son ex-femme veut avoir la garde de son neveu. Charlie propose au mari de cette dernière que, pour 100 000 dollars, il leur confiera la garde de l'enfant au retour de leurs vacances. Il doit donc s'en occuper pendant un mois, pendant lequel il accepte à contrecœur de faire équipe avec son fils pour construire et entraîner un champion. Dans l'arène où tous les coups sont permis, les enjeux sont plus élevés qu'ils ne l'ont jamais été. Contre toute attente, Charlie et Max ont une chance, une seule, de faire leur grand retour dans la boxe.
Que dire ? un mélange parfait entre le Rocky de Stallone et l’Astroboy de Tezuka.


Cela bon sent la SF old school. Normal c’est tiré d’une nouvelle de Richard Matheson.
Les combats de robots sont excellents, mais c’est aussi une belle fable humaine pour petits et grands car le robot Atom (bel hommage dans le naming au pionnier du genre dans le naming ! blink) qui fait le chemin inverse du boxeur permet à un couple de se reformer et à une famille de se souder.
Hugh Jackman est bon (grâce à la magie du motion capture, Atom c'est lui !), mine de rien il est en train de se construire un sacrée filmographie.
Evangeline Lily est mignonne à souhait comme toujours.
Et pour une fois l’acteur enfant, ici Dakota Goyo, sait exprimer des émotions dignes de ce nom.
J’ai beaucoup d’affection pour les films familiaux qui ne sont pas gamins et/ou aseptisés donc malgré quelques longueurs j’ai passé un bon moment ! Et pour ne rien gâcher le score de Danny Elfman est de bon aloi.
PS : on le dit que la revanche contre Apollo Zeus Creed aurait lieu dans une suite…
