"ils étaient quand même bien dans la merde ceux là, heuresement qu'on à débarqué pour ranger tout ça"
se sentait un peu...
Gibson quoi...
Je ne sais pas qui croire du coup
![Surpris :o](./images/smilies/icon_surprised.gif)
Cependant, il tourne carrément dans la langue du cru...pas mal quand même...
Evidemment chacun peut avoir sa propre lecture du film. Si on est bourré d'égocentrisme européen et de mépris des autres civilisations humaines on ne peut qu'avoir ce genre de lecture. Je t'avoie Bran que ça ne m'a pas effleuré une seule seconde de lire cette histoire comme ça. Peut-être ai-je tord, qui sait?Bran Darkraven a écrit :on me dit tout l'inverse sur un autre forum, et que le style
"ils étaient quand même bien dans la merde ceux là, heuresement qu'on à débarqué pour ranger tout ça"
se sentait un peu...
Gibson quoi...
Nous sommes d'accordkofboay a écrit :Bran, j'avais compris que ce n'était pas toi qui l'as dit. Et à aucun moment je ne t'ai reproché quoi que ce soit. Et même si cet avis était de toi, je le redis encore : chacun sa propre lecture du film. Je déplore ce genre de lecture c'est tout et je le dis. Après, je reconnais à un autre le droit de l'avoir. Qui suis-je pour imposer ma façon de voir les choses aux autres? Des gens qui déplorent la mienne doivent aussi exister d'ailleurs, et c'est normal.
kof
lol en plus les mecs qui disent n'importe quoi, car la civilisation Maya s'était effondrée bien avant l'arrivée des Espagnols suite à une sécheresse record. Ainsi lorsqu'ils sont arrivés dans la région le peuple maya qui exitait encore lui était revenu à une civilisation tribale et agraire.Bran Darkraven a écrit :on me dit tout l'inverse sur un autre forum, et que le style
"ils étaient quand même bien dans la merde ceux là, heuresement qu'on à débarqué pour ranger tout ça"
La période concernée par le film est celle après la chute, c'est pour ça que j'ai mis en gras. Et d'après l'article, plusieurs cités mayas ont perduré jusqu'à l'arrivée des espagnols. Certains royaumes mayas avaient même résisté à la conquête espagnole.http://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya a écrit :
Ère préclassique
L'ère préclassique s'étend de 2600 avant Jésus-Christ à 250 ap. J.-C. À partir de -2000, c'est l'essor de la civilisation olmèque, dont sont issus de nombreux aspects de la civilisation maya.
Des preuves archéologiques montrent que l'architecture cérémonielle maya démarre vers 1000 av. J.-C. Il est très difficile de faire la différence entre la culture pré-maya et la civilisation olmèque, chaque culture s'étant influencée mutuellement.
Vers 300 av. J.-C., on assiste à la multiplication des sites et à une activité architecturale intense, signe d'un fort accroissement de la population, particulièrement dans les cités de Komchén, Cerros et Tikal. Chaque site se développe de façon autonome; néanmoins, signe d'une indéniable unité culturelle, on utilise partout la même céramique rouge.
Entre 50 et 250 de l'ère chrétienne, période traditionnellement dénommée « protoclassique », des tensions apparaissent; crise de croissance ou invasion, nul ne le sait. Certains sites disparaissent, tels que Cerros ou Komchén, tandis que d'autres s'imposent comme Tikal.
Ère classique
L'ère classique s'étend de 250 ap. J.C à 900 ap. J.C. Elle est dominée par deux grandes métropoles : Tikal et Calakmul. Tikal joue un role prédominant dans la première partie de l’ère classique qui marque l’apogée de la culture maya. En 292 une stèle datée revendique la prédominance de cette cité sur l'ensemble du monde maya. Son rôle semble être renforcé par les liens qui l'unissent à la grande métropole du Mexique central, Teotihuacán. Ces échanges se manifestent dans l’architecture, la céramique et la sculpture.
Vers le milieu du VIe siècle, Tikal est vaincue par Calakmul. On note alors un ralentissement des activités, qui se traduit par l’interruption de l’érection de monuments datés. Cet arrêt marque la fin du classique ancien.
Un renouveau s’opère bientôt organisé autour de cités-États qui rivalisent de prestige. La culture maya atteint son apogée : il durera jusqu'au Xe siècle.
Ère postclassique et le mystère de l'effondrement maya
L'ère postclassique, de 900 à 1521, marque l’effondrement des cités-États et la disparition de l'écriture monumentale.
Le dépeuplement quasi total des puissantes cités mayas à l'aube du IXe siècle reste très mystérieux. De très nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer la chute brutale de la civilisation maya classique en plein âge d'or. Les spécialistes ne sont toujours pas d'accord sur les causes d'un bouleversement aussi radical. Guerres, désastres écologiques, famines ou une combinaison de ces facteurs sont les raisons généralement avancées pour expliquer ce déclin.
Les faits
Dans les Basses Terres, au Guatemala et au Mexique actuels, on constate à cette période l'arrêt soudain et définitif de toute activité dans les cités. Une première ville, Quirigua, est abandonnée dès la fin du VIIIe siècle (c'est la dernière date indiquée sur les stèles retrouvées). Quelques dizaines d'années plus tard, on ne retrouve plus trace de vie urbaine dans le monde maya classique. Une forte baisse de la démographie a été constatée mais les causes en restent obscures, et cela ne suffit pas à expliquer pourquoi les survivants ont quitté les cités et leurs splendides constructions.
Les hypothèses
* La guerre : du fait des traces d’abandon brutal, les activités quotidiennes ayant été apparemment délaissées en quelques jours (constructions encore en chantier), plusieurs spécialistes ont favorisé la thèse de guerres et d'affrontements violents entre cités.
Cependant, les guerres, bien qu'effectivement courantes, ne peuvent à elles seules expliquer un phénomène d’une telle ampleur. La notion de conquête ne semblait pas exister en tant que telle chez les Mayas. Les guerres ne visaient pas à exterminer l'adversaire, mais à faire des prisonniers pour exiger une rançon ou les sacrifier aux dieux.
* Les catastrophes naturelles : de terribles tremblements de terre ou de fortes perturbations climatiques auraient pu décimer la population. Une très importante diminution des pluies sur une longue période (corroborée par plusieurs études géologiques) aurait ainsi pu entraîner de mauvaises récoltes, des famines, des épidémies, des rébellions, etc.
Une des faiblesses de cette hypothèse est d'abord sa durée dans le temps : un changement climatique se produit sur plusieurs décennies et ses conséquences sont progressives. De plus des études pluviométriques ont démontré que des variations de pluie n’auraient rien changé ou, au contraire, amélioré les récoltes. Enfin, aucune autre civilisation n’a disparu des suites d'une épidémie ou d’une catastrophe écologique (les bâtiments ne montrent d'ailleurs par exemple aucun signe de violent séisme).
* La peur : cette thèse très controversée a été avancée au milieu des années 1970 par Pierre Ivanof. Elle se base sur la religion maya elle-même, prépondérante dans les cités dont la naissance va de pair avec la construction de grands centres cérémoniels et cultuels. La création des arts et des sciences était toujours intimement liée à la religion. Or, celle-ci se basait sur des observations astronomiques qui avaient donné naissance à deux calendriers complexes (voir calendriers mayas) qui organisaient toute la vie de la cité et avaient profondément marqué leur cosmogonie. Les Mayas distinguaient ainsi cinq cycles dans l’histoire de l’Univers se terminant tous par la destruction du monde précédent ; celle correspondant à l'Humanité était la quatrième, et le calcul basé sur le croisement des deux calendriers indique que cette période devait s'achever… au Xe siècle. Ainsi, les prêtres ayant prédit l'approche imminente de l'apocalypse, ce peuple fervent aurait soudain été pris de panique et se serait enfui.
Cette hypothèse ne permet pas d'expliquer la forte baisse démographique constatée par les chercheurs; on ne comprend pas non plus pourquoi les Mayas ne seraient pas retournés vivre dans les cités après s'être rendu compte que les prévisions des prêtres étaient erronées.
* L'hypothèse retenue par la plupart des chercheurs se base sur une accumulation de situations très défavorables, reprenant les thèses évoquées précédemment. Les scénarios évoquent souvent une catastrophe écologique (déboisement massif, sécheresse, appauvrissement et érosion du sol) qui aurait entraîné de violentes guerres entre les cités pour augmenter la cadence des sacrifices et gagner la clémence des dieux, surtout à l'approche de la fin du quatrième cycle. La forte croissance du taux de mortalité qui en découle, conjuguée à la nécessité de s'éloigner des villes de plus en plus arides pour retrouver l'environnement plus humide et fertile de la forêt tropicale, apporte une explication assez cohérente à l'abandon des cités.
Après la chute
Les cités mayas des plaines du nord du Yucatan continuent néanmoins à prospérer quelques siècles de plus, comme Chichen Itza, Uxmal, Edzná et Coba. Après le déclin des dynasties de Chichen Itza et Uxmal, la cité de Mayapan gouverne tout le Yucatan jusqu’à une révolte vers 1450. Lorsque les Espagnols arrivent, la région est aux mains de cités-États de moindre importance.
Dans les hautes terres du sud, la culture maya continue de vivre à travers de petits royaumes comme celui de Quiché, qui est à l'origine d'un des textes les plus connus de la mythologie maya : le Popol Vuh.
L’écriture hiéroglyphique maya continue à être utilisée dans les codex, faits de longues bandes de fibre végétale recouvertes de chaux et pliées en accordéon. Quatre d’entre eux ont survécu : ceux de Dresde et de Paris, le Codex Troano de Madrid et le Grolier.
Les Espagnols commencent la conquête des terres mayas vers 1520. Quelques royaumes continueront néanmoins à résister farouchement, jusqu'à ce que le dernier État maya, le royaume d'Itza, au Guatemala, tombe en 1697.
Moi j'aime bien faire quelques remarques et autres vannes à mes amis au ciné, sans pour autant pourrir le film.Bran Darkraven a écrit :Et hop, pour causer ciné, je vous avouerais n'être que rarement motivé pour regarder un film...trop passif. Et j'arrête pas de déranger les voisins en remuant constamment ><
Alors parfois, ma culture ciné assez limitée se sent un peu seule au milieu de quelques potes qui s'y connaissent à fond
Heureusement, je crois que je ferais une syncope si je revoyais ce film une troisième fois...Cymoril a écrit : Un bien beau film donc. Je craignais des similitudes avec Requiem for a dream mais c'en est à dix milles lieues.
Et t'as aimé "la secte sans nom" ? Je l'ai trouvé vraiment dégueu comme film.kofboay a écrit :J'ai adoré les Saw. Je suis un amateur de films d'horreur de tout acabit (du moins je me considère comme tel), du film de zombie à 2 balles à l'adaptation de stephen king. Tout ce que j'ai l'opportunité de voir en fait sans vraiment non plus avoir une démarche très active à ce niveau là. Le seul critère : que ça me fasse peur et horreur. Je ne demande pas plus que ça à un film d'horreur. Et j'ai trouvé cette trilogie particulièrement ragoutante! hmm...
kof
Enfin quelqu'un qui sait compter jusqu'à VII. Bravo! Si, si, j'insiste... Un vrai génieLinmark a écrit :J'attends le VI avec impatience, ou à la rigueur le VII.
Quoi qu'il en soit félicitions... Ne t'arrête surtout pas si proche de la vérité...il existe un ou deux nombres entre III et VI