De moi-même, ça vaut ce que ça vautRésumé : Un homme, un royaume, un destin.
Il avait nom Lorn Askariàn. Certains disent que le malheur arriva par lui et d'autres qu'il fut celui par qui tout fut sauvé. Dans ses veines coulait le sang noir des héros condamnés.
Le Haut-Royaume connaît sa période la plus sombre. Le roi est affaibli et la rébellion gronde aux frontières du territoire. En dernier recours, le souverain libère Lorn de ses geôles et le nomme Chevalier du Trône d’Onyx, chargé de protéger l’autorité royale. Héros valeureux et juste, Lorn est une figure d’espoir pour le peuple, mais il poursuit également un but secret : retrouver ceux qui l’ont maintenu en captivité, les uns après les autres… et leur faire sentir le goût de la vengeance.
Un formidable récit épique mêlant Fantasy et trame historique, entre G. R. R. Martin et le Comte de Monte-Cristo, par un auteur français de référence traduit dans dix langues.
:Lorn Askariàn semblait être le pupille préféré du roi Esklant II, descendant du premier du nom et héritier du Haut-Royaume. Ami du prince cadet depuis sa plus tendre enfance, Lorn est devenu un membre de la garde grise, dont l'existence est vouée à la protection du Haut-roi. Son avenir était prometteur, et il devait même se marier avec la fille d'un des seigneurs les plus influent du royaume. Mais il fût banni à tort, sans que quiconque ne puisse agir pour l'aider et passa 3 longues années dans la forteresse de Dalroth, où sévit l'Obscure, une étrange force maléfique qui va laisser son empreinte sur Lorn, au sens propre du terme.
Il n'est déjà plus le même, lorsque l'on vient l'en délivrer. Rétabli dans ses fonctions et libéré par ceux qui l'aimaient, il redécouvre petit à petit la vie hors de sa cellule et la confiance de ses anciens amis.
Il apparaît même qu'un conseil de sages lui aurait découvert un destin incroyable, qu'ils prédisent des temps particulièrement obscurs, et que seul Lorn Askariàn détiendrait en lui les ressources pour éviter le pire...
Bon, j'en suis à 169 pages et c'est plutôt bon. Je ne suis pas très objectif car un peu fanboy du sieur Pevel (Wieldstat, les Enchantements d'Ambremer, les Lames du Cardinal, etc : viewtopic.php?f=7&t=4557).
On y retrouve les ficelles classiques de plusieurs autres ouvrages du même acabit, mais à l'instar de ce qu'a déjà écrit monsieur Pevel, je trouve que l'alchimie y est réussie.
Enfin pour le moment.
Ca se lit vite et bien, l'action bouge et les personnages sont toujours très bien menés en général.
A suivre !
pendant un échange FB où un quidam lui "reprochait d'avoir grassement copié GRR Martin" au sujet du ministre Estevéris, qui n'est qu'un ersatz de l'eunuque Varys. Mais... P. Pevel ne lit pas ASOIAF et ne regarde pas GoT. Comme quoi... les lecteurs trouvent des similitudes un peu grossières, même parfois là où il n'y en a pas. 
Nan mais sans deconner, c'est du déjà vu, mais c'est bien 
