Expéditions/Base d'opérations
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- Lieutenant
- Messages : 158
- Enregistré le : 19 mars 2006, 10:09
- Localisation : N'essayez pas de me chercher ailleurs que partout.
[HRP] C'est pas ainsi que je voyais mon entrée mais bon, on va faire avec.[/HRP]
Archaon se rendait tranquillement sur les lieux du duel. Il ne s'en faisiat pas outre-mesure. Il avait beau être un nouveau, avoir survécu seul pendant des années au mileu de la terre des Sauvageons vous aguerrisait quelque peu.
Juste avant d'entrer dans la cour où se déroulerait le duel, il fit une dernière inspection du matériel, une vieille habitude. Il dégaina ses cimeterres d'un ample geste fluide. Ils glissèrent hors de leur fourreau sans la moindre difficulté. Le jeune guerrier en éxamina le fil. Tranchant comme un rasoir et aussi lisse qu'au premier jour, malgré les nombreux combats qu'ils avaient traversés. Il les fit tournoyer durant une petite minute pour en éprouver l'équilibre. Parfait, comme à l'accoutumée. Soudain, il les jeta en l'air, et, après avoir virevolté, ses armes vinrent se loger d'elles-même dans les fourreaux accrochés dans son dos.
Ce fut le tour de sa plus récente acquisition : un magnifique katana. Sobre en apparence, quelqu'un d'un tant soit peu connaisseur aurait vite décelé les particularités de cette arme. L'aura bleu banquise qui l'entourait lui conférait une allure hypnotique. Le fil de la lame aurait pu être d'origine divine tant il était proche de la perfection. Cette arme faisait partie de celles possédnt une âme. Ce genre d'arme était rarissime. Les légendes voulaient que c'étaient elles qui choisissaient leur porteur et non l'inverse. On disait aussi que lorsqu'elles le trouvaient, elles dégagaient une puissance sans pareil. Mais Archaon n'avait pas encore réussi à briser les sceaux qui scellaient l'âme de son arme.
Ce fut au tour de son armure. Inexistante en fait. Il portait une simple tenue complète, d'un blanc éclatant. Des bottes jusqu'aux gants, en passant par le pantalon, tout était d'un blanc immaculé. Fallait-il être confient pour se présenter ainsi à un duel sans protection.
Son inspection finie, il poussa les portes de la cour et sortit du Fort. Son adversaire était déjà arrivé.
"-Bien le bonjour. Lança froidement Archaon.
-Ouais salut. Marmonna Durandal.
-Tu veux commencer de suite ou tu as des prières à faire? Ironisa le guerrier, un sourire sardonique aux lèvres.
-Grr. Arrête de te moquer de moi. En garde!
-A ta guise."
Durandal portait une armure de cuir noir assez souple. Un casque lui couvrait à présent la totalité du crâne. Il dégaina une une épée longue et arma son autre bras d'une rondache.
Ils se jaugèrent pendant une bonne minute. Une faible brise conférait une allure épique au tableau. Puis, sans crier gare, ils chargèrent.
Cimeterres et épées se rencontrèrent. Durandal essaya d'en profiter pour porter un coup de bouclier. Trop tard. Malgré un geste parfait, Archaon s'était déjà mis hors de portée. Le choc avait été rude. Des fourmis parcouraient encore leurs bras. Quelle force surprenante chez ce Durandal. Archaon vait conscience de sa supériorité en matière de technique et de vitesse, mais cet homme était d'une puissance prodigieuse! L'esquive était de mise.
Durandal fonça de nouveau. Grossière erreur! Archaon profita de la vitesse de son adversaire pour faire un pas de côté et se glisser derrière lui. La vitesse acquise ne permit pas à Durandal de freiner son élan à temps. D'un simple coup de talon derrière la cheville, Archaon lui fit mettre un genou à terre.
"-Le néophyte en a assez ou la leçon n'est-elle pas suffisament cuisante? Railla Archaon.
-Pff. Ce n'était qu'un échauffement.
-Tu veux dire que toi tu en avais gardé sous la pédale?
-Et comment!"
Plus circonspect à présent, Durandal enchaîna prudemment les estocs et les feintes. Mais ses attaques étaient devenues trop hésitantes. Archaon les esquivait ou les parait les unes après les autres sans la moindre difficulté. En fait, il parraissait même s'ennuyer. Il affichait un air détaché et mélancolique. Un sourire barrait ses lèvres. Mais il ne correspondait pas au reste du visage.
"-Est-ce tout ce dont tu es capable? Je m'ennuie.
-Toi, tu vas arrêter de sourire comme ça. Dit Durandal dans un souffle."
"Comment parvenait-il à resté concentré sur le combat en parlant? Il était décidément très fort. Va falloir ruser. Songea le combattant au bouclier.
Le duel se prolongea ainsi dix bonnes minutes, le tempo allant s'accélérant. Durandal devenait de plus en plus confiant et hardi. Le sourire avait disparu. Ses sauts et ses assauts se faisaient de plus en plus pressants. Une ombre passa sur le visage d'Archaon. Il allait mettre fin au duel.
Soudain, il disparut. Durandal resta une seconde hébêté. Puis il comprit, la lumière se faisant dans son esprit : le pas fantôme. Archaon avait utlisé le reflet du soleil pour se servir des armes comme bouclier optique. Il se trouvait soit sur la gauche, soit sur la droite de Durandal. La seconde d'hésitation fut fatale.
"-Le Iaï. Souffla une voix aussi froide et coupante que la glace.
-Que...?"
Il se senti soulever de terre. Une fois au sol, ce fut le contact froid du métal contre sa gorge qu'il sentit. Il se rendit alors compte qu'il ne tenait plus que les lanières de son bouclier ainsi qu'une garde d'épée ... sans lame!
"Tu as perdu. Lâcha sentencieusement Archaon."
Une autre voix s'éleva. Une voix de femme.
"Il suffit Archaon. Tu n'es pas ici pour mettre hors-combat la moitié de la garnison avant la prochaine attaque."
Durandal vit alors Archaon rangainer ... son katana! Quand l'avait-il sorti?! Et où étaient ses cimeterres? Il tourna les talons et se dirigea vers celle qui les avait arrêté. Il lui murmura quelque chose à l'oreille puis s'éloigna.
Péniblement, Durandal se leva. Il reconnut celle qui s'avancait vers lui : Cymoril. Elle le toisa et il prit un air contrit.
"-La leçon suffira? Ou dois-je te sermonner en plus?
-Je crois que j'ai compris.
-Bien. Ne t'en prends plus jamais à lui. Non seulement vous êtes frères, mais en plus tu n'as pas encore les moyens de le vaincre... Pas encore. Ajouta-t-elle après un court silence.
-Je vois.
-Bon, file. Sinon t'as droit à des des corvées supplémentaires."
Durandal fila sans demander son reste. Non sans rmarquer au pasage que Cymoril partait dans la même diection que le mystérieux bretteur. Que se passait-il entre eux? Quelles éaitent leurs relations? Il était évident qu'il y avait autre chose que le lien hiérarchique du Fort. En tous cas, Durandal venait de trouver une raison de s'entraîner plus dur que jamais. Il avait un rival à abattre!
[HRP] Ca plait ou pas? Si c'est trop long, je pourrai raccourcir la prochaine fois.
J'me la pète hein?
Que dire d'autre? Ah oui. on ne pourrait pas créer un autre topic pour parler de tout ce qu'i n'est pas l'histoire elle-même? Les interventions n'ayant pas trait à l'histoire mais à ses à-côtés nuisent un peu à l'ambiance. Enfin, ce n'est que mon avis.
S'il y a des choses qui ne collent pas, dites-le. J'éditerai.[/HRP]
Archaon se rendait tranquillement sur les lieux du duel. Il ne s'en faisiat pas outre-mesure. Il avait beau être un nouveau, avoir survécu seul pendant des années au mileu de la terre des Sauvageons vous aguerrisait quelque peu.
Juste avant d'entrer dans la cour où se déroulerait le duel, il fit une dernière inspection du matériel, une vieille habitude. Il dégaina ses cimeterres d'un ample geste fluide. Ils glissèrent hors de leur fourreau sans la moindre difficulté. Le jeune guerrier en éxamina le fil. Tranchant comme un rasoir et aussi lisse qu'au premier jour, malgré les nombreux combats qu'ils avaient traversés. Il les fit tournoyer durant une petite minute pour en éprouver l'équilibre. Parfait, comme à l'accoutumée. Soudain, il les jeta en l'air, et, après avoir virevolté, ses armes vinrent se loger d'elles-même dans les fourreaux accrochés dans son dos.
Ce fut le tour de sa plus récente acquisition : un magnifique katana. Sobre en apparence, quelqu'un d'un tant soit peu connaisseur aurait vite décelé les particularités de cette arme. L'aura bleu banquise qui l'entourait lui conférait une allure hypnotique. Le fil de la lame aurait pu être d'origine divine tant il était proche de la perfection. Cette arme faisait partie de celles possédnt une âme. Ce genre d'arme était rarissime. Les légendes voulaient que c'étaient elles qui choisissaient leur porteur et non l'inverse. On disait aussi que lorsqu'elles le trouvaient, elles dégagaient une puissance sans pareil. Mais Archaon n'avait pas encore réussi à briser les sceaux qui scellaient l'âme de son arme.
Ce fut au tour de son armure. Inexistante en fait. Il portait une simple tenue complète, d'un blanc éclatant. Des bottes jusqu'aux gants, en passant par le pantalon, tout était d'un blanc immaculé. Fallait-il être confient pour se présenter ainsi à un duel sans protection.
Son inspection finie, il poussa les portes de la cour et sortit du Fort. Son adversaire était déjà arrivé.
"-Bien le bonjour. Lança froidement Archaon.
-Ouais salut. Marmonna Durandal.
-Tu veux commencer de suite ou tu as des prières à faire? Ironisa le guerrier, un sourire sardonique aux lèvres.
-Grr. Arrête de te moquer de moi. En garde!
-A ta guise."
Durandal portait une armure de cuir noir assez souple. Un casque lui couvrait à présent la totalité du crâne. Il dégaina une une épée longue et arma son autre bras d'une rondache.
Ils se jaugèrent pendant une bonne minute. Une faible brise conférait une allure épique au tableau. Puis, sans crier gare, ils chargèrent.
Cimeterres et épées se rencontrèrent. Durandal essaya d'en profiter pour porter un coup de bouclier. Trop tard. Malgré un geste parfait, Archaon s'était déjà mis hors de portée. Le choc avait été rude. Des fourmis parcouraient encore leurs bras. Quelle force surprenante chez ce Durandal. Archaon vait conscience de sa supériorité en matière de technique et de vitesse, mais cet homme était d'une puissance prodigieuse! L'esquive était de mise.
Durandal fonça de nouveau. Grossière erreur! Archaon profita de la vitesse de son adversaire pour faire un pas de côté et se glisser derrière lui. La vitesse acquise ne permit pas à Durandal de freiner son élan à temps. D'un simple coup de talon derrière la cheville, Archaon lui fit mettre un genou à terre.
"-Le néophyte en a assez ou la leçon n'est-elle pas suffisament cuisante? Railla Archaon.
-Pff. Ce n'était qu'un échauffement.
-Tu veux dire que toi tu en avais gardé sous la pédale?
-Et comment!"
Plus circonspect à présent, Durandal enchaîna prudemment les estocs et les feintes. Mais ses attaques étaient devenues trop hésitantes. Archaon les esquivait ou les parait les unes après les autres sans la moindre difficulté. En fait, il parraissait même s'ennuyer. Il affichait un air détaché et mélancolique. Un sourire barrait ses lèvres. Mais il ne correspondait pas au reste du visage.
"-Est-ce tout ce dont tu es capable? Je m'ennuie.
-Toi, tu vas arrêter de sourire comme ça. Dit Durandal dans un souffle."
"Comment parvenait-il à resté concentré sur le combat en parlant? Il était décidément très fort. Va falloir ruser. Songea le combattant au bouclier.
Le duel se prolongea ainsi dix bonnes minutes, le tempo allant s'accélérant. Durandal devenait de plus en plus confiant et hardi. Le sourire avait disparu. Ses sauts et ses assauts se faisaient de plus en plus pressants. Une ombre passa sur le visage d'Archaon. Il allait mettre fin au duel.
Soudain, il disparut. Durandal resta une seconde hébêté. Puis il comprit, la lumière se faisant dans son esprit : le pas fantôme. Archaon avait utlisé le reflet du soleil pour se servir des armes comme bouclier optique. Il se trouvait soit sur la gauche, soit sur la droite de Durandal. La seconde d'hésitation fut fatale.
"-Le Iaï. Souffla une voix aussi froide et coupante que la glace.
-Que...?"
Il se senti soulever de terre. Une fois au sol, ce fut le contact froid du métal contre sa gorge qu'il sentit. Il se rendit alors compte qu'il ne tenait plus que les lanières de son bouclier ainsi qu'une garde d'épée ... sans lame!
"Tu as perdu. Lâcha sentencieusement Archaon."
Une autre voix s'éleva. Une voix de femme.
"Il suffit Archaon. Tu n'es pas ici pour mettre hors-combat la moitié de la garnison avant la prochaine attaque."
Durandal vit alors Archaon rangainer ... son katana! Quand l'avait-il sorti?! Et où étaient ses cimeterres? Il tourna les talons et se dirigea vers celle qui les avait arrêté. Il lui murmura quelque chose à l'oreille puis s'éloigna.
Péniblement, Durandal se leva. Il reconnut celle qui s'avancait vers lui : Cymoril. Elle le toisa et il prit un air contrit.
"-La leçon suffira? Ou dois-je te sermonner en plus?
-Je crois que j'ai compris.
-Bien. Ne t'en prends plus jamais à lui. Non seulement vous êtes frères, mais en plus tu n'as pas encore les moyens de le vaincre... Pas encore. Ajouta-t-elle après un court silence.
-Je vois.
-Bon, file. Sinon t'as droit à des des corvées supplémentaires."
Durandal fila sans demander son reste. Non sans rmarquer au pasage que Cymoril partait dans la même diection que le mystérieux bretteur. Que se passait-il entre eux? Quelles éaitent leurs relations? Il était évident qu'il y avait autre chose que le lien hiérarchique du Fort. En tous cas, Durandal venait de trouver une raison de s'entraîner plus dur que jamais. Il avait un rival à abattre!
[HRP] Ca plait ou pas? Si c'est trop long, je pourrai raccourcir la prochaine fois.
J'me la pète hein?
Que dire d'autre? Ah oui. on ne pourrait pas créer un autre topic pour parler de tout ce qu'i n'est pas l'histoire elle-même? Les interventions n'ayant pas trait à l'histoire mais à ses à-côtés nuisent un peu à l'ambiance. Enfin, ce n'est que mon avis.
S'il y a des choses qui ne collent pas, dites-le. J'éditerai.[/HRP]
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
[HRP] Hum, et bien j'aurai bien aimé aoir le choix de mon arme. Normal que je paume là, tu as deux cimeterres, et un katana enchanté, contre une épée courte et une rondache ! Je pense que j'aurai plutôt opté pour un bâton, enfin à voir la prochaine fois. Mais laisse moi un peu de liberté ! Le duel fais un peu caricatural là quand même, enfin bon. Mais tu n'as pas le droit d'éditer ton RP, tu l'as fait t'y touche pas, mais attends toi à une revanche ! Bon, allez la suite ...[/HRP]
***Durandal parti vexer, mais le fait de vois un lien fort entre Cymoril et Archaon lui donna des idées de vengeance. Son côté bleu rebelle était en train de se réveiller. Pendant son après midi, il alla chercher des feuilles dans une haie où il avait eu le malheur de tomber en venant au fort. Il prit des gants et enleva plusieurs feuilles de l'arbuste. Il les amena dans sa chambre et les broya en une fine poudre. Il se dirigea ensuite à pas de loups vers la chambre de Cimoryl. Il verifia qu'il n'y avait personne et mis la moitié de sa poudre dans ses bras. Il fit de même ensuite aussi precautionneusement dans le lit d'Archaon. Il en connaissait deux qui allaient avoir du mal à dormir cette nuit tant ça allait les gratter. UNe fois son méfait accompli, il cacha tous ses ustensiles et s'assit sur son lit. chose qu'il n'aurait pas du faire, car insidieusement, la fatigue accumulée lors du combat deferla en lui. Terrasé par le sommeil, Durandal s'allongea et sombra dans les songes.***
***Durandal parti vexer, mais le fait de vois un lien fort entre Cymoril et Archaon lui donna des idées de vengeance. Son côté bleu rebelle était en train de se réveiller. Pendant son après midi, il alla chercher des feuilles dans une haie où il avait eu le malheur de tomber en venant au fort. Il prit des gants et enleva plusieurs feuilles de l'arbuste. Il les amena dans sa chambre et les broya en une fine poudre. Il se dirigea ensuite à pas de loups vers la chambre de Cimoryl. Il verifia qu'il n'y avait personne et mis la moitié de sa poudre dans ses bras. Il fit de même ensuite aussi precautionneusement dans le lit d'Archaon. Il en connaissait deux qui allaient avoir du mal à dormir cette nuit tant ça allait les gratter. UNe fois son méfait accompli, il cacha tous ses ustensiles et s'assit sur son lit. chose qu'il n'aurait pas du faire, car insidieusement, la fatigue accumulée lors du combat deferla en lui. Terrasé par le sommeil, Durandal s'allongea et sombra dans les songes.***
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- Lieutenant
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- Enregistré le : 19 mars 2006, 10:09
- Localisation : N'essayez pas de me chercher ailleurs que partout.
[HRP] J'avais dit que j'allais te foutre un trempe.
Un bâton pour la prochaine fois? C'est noté. (Je pensais à une épée longue quand j'ai écrit la scène. Et ensuite, un bouclier peut être très efficace. Je dois reconnaître ne pas savoir m'en servir. Ce sera plus difficile à décrire. Tu auras compris que je me suis inspiré de mes combats passés pour rédiger tout cela. Le Iaï par exemple, est une technique qui existe vraiment.
Comme tu le souhaites, je n'éditerai pas. Je te laisserai écrire la revanche. Comme ça tu pourras te venger.
Le katana n'est pas enchanté. Faudrait que j'explique tout ça. Je le ferai dans mon topic de présentation.
Je demande pardon si le personnage fait gros-bill. La force de l'habitude. J'essaierai de faire des efforts.^^[/HRP]
Cette nuit-là, Durandal cauchemarda plus qu'il ne rêvat. Ses songes étaient emplis des visages goguenards de Cymoril et Archaon venus se venger. Il avait beau les fuir, leu visage le poursuivait. Il se mit à crier.
Il se réveilla en sursaut. On était déjà le matin. On frappa à la porte de sa chambre et il alla ouvrir. Archaon, Cymoril et d'autres nouveaux se tenaient sur le pas de sa porte. Malheur!
"-Bon, tu viens faire tes corvées de la matinée? Lui adressa Cymoril.
-Je, oui tout de suite. Balbutia Durandal quand la stupeur fut passée."
Ils quittèrent sa chambre dès qu'il se fut habillé.
[HRP] Avoue que t'as flippé Durandal. [/HRP]
Un bâton pour la prochaine fois? C'est noté. (Je pensais à une épée longue quand j'ai écrit la scène. Et ensuite, un bouclier peut être très efficace. Je dois reconnaître ne pas savoir m'en servir. Ce sera plus difficile à décrire. Tu auras compris que je me suis inspiré de mes combats passés pour rédiger tout cela. Le Iaï par exemple, est une technique qui existe vraiment.
Comme tu le souhaites, je n'éditerai pas. Je te laisserai écrire la revanche. Comme ça tu pourras te venger.
Le katana n'est pas enchanté. Faudrait que j'explique tout ça. Je le ferai dans mon topic de présentation.
Je demande pardon si le personnage fait gros-bill. La force de l'habitude. J'essaierai de faire des efforts.^^[/HRP]
Cette nuit-là, Durandal cauchemarda plus qu'il ne rêvat. Ses songes étaient emplis des visages goguenards de Cymoril et Archaon venus se venger. Il avait beau les fuir, leu visage le poursuivait. Il se mit à crier.
Il se réveilla en sursaut. On était déjà le matin. On frappa à la porte de sa chambre et il alla ouvrir. Archaon, Cymoril et d'autres nouveaux se tenaient sur le pas de sa porte. Malheur!
"-Bon, tu viens faire tes corvées de la matinée? Lui adressa Cymoril.
-Je, oui tout de suite. Balbutia Durandal quand la stupeur fut passée."
Ils quittèrent sa chambre dès qu'il se fut habillé.
[HRP] Avoue que t'as flippé Durandal. [/HRP]
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
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- Porte Etendard
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- Enregistré le : 07 avr. 2004, 20:41
- Localisation : Entre les Wriggles, les Fatals Picards et les Joyeux Urbains. :P
- Contact :
Plus tard.
Dans un couloir. Archaon, Linmark.
Linmark : Hum, bleusaille euh... Archaon, n'est-ce pas ? J'ai beaucoup aimé votre combat face à l'autre nouveau. Vos deux cimeterres sontr de belle facture, j'ai envie de les examiner pour mon usage personnel, vous êtes bien aimable de me les donner spontanément. Votre épée de la mer d'Eté me parait suspecte et peu réglementaire, cependant je vous la laisse pour le moment ; évitez de remettre une dérouillée à un frère, même s'il est très agaçant. Cela destabilise les autres recrues. Et je vous serais gré de cesser vos tours de passe-passe et de m'as-tu-vu. Encore merci pour les armes, elles enrichiront ma collection !
Dans un couloir. Archaon, Linmark.
Linmark : Hum, bleusaille euh... Archaon, n'est-ce pas ? J'ai beaucoup aimé votre combat face à l'autre nouveau. Vos deux cimeterres sontr de belle facture, j'ai envie de les examiner pour mon usage personnel, vous êtes bien aimable de me les donner spontanément. Votre épée de la mer d'Eté me parait suspecte et peu réglementaire, cependant je vous la laisse pour le moment ; évitez de remettre une dérouillée à un frère, même s'il est très agaçant. Cela destabilise les autres recrues. Et je vous serais gré de cesser vos tours de passe-passe et de m'as-tu-vu. Encore merci pour les armes, elles enrichiront ma collection !
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- Lieutenant
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- Enregistré le : 19 mars 2006, 10:09
- Localisation : N'essayez pas de me chercher ailleurs que partout.
Archaon regardait Linmark avec des yeux ronds. Cela semblait amuser le Maître. il se reprit et son habituel sourire sardonique s'étala de nouveau sur ses lèvres.
"A votre guise. Je commençais à préférer mon katana. Eternia est bien plus efficace que ces deux cimeterres. De plus, ils me fatiguaient. Ces lames courbes sont trop lourdes et trop mal équilibrées par rapport à ce sabre. Je vous préviens toutefois. Tout autant que pour Eternia, une partie de mon âme a servi à la confection de ces cimeterres. Moi seul peut en tirer le plein-potentiel. Ils resteront excellents, mais ne seront pas meilleurs que les autres armes que vous n'aurez pas manqué de voler aux autre bleus. Je finirais pas une mise en garde. Si je vous cède ces armes de bons coeurs, il faudra me passer surle corps pour récupérer Eternia."
Une ombre passa sur le visage du maître lorsqu'Archaon prononça cette dernière phrase.
"Heureux que mon combat vous ait plus. Je mettrai une dérouillée à tous ceux qui me provoqueront. Vous y comprit s'il le faut. Je ne suis pas du genre à fuir un combat. Quant à la technique que j'emploie, cela ne vous regarde en rien. Ce sont des techniques efficaces. Je ne vois pas pourquoi je m'en priverais. Si leur jalousie les aveugle, c'est leur problème, pas le mien. J'ajouterais que je n'avais convié personne pour assisster à ce duel. Ceux qui ont vu ce combat n'étaient pas expressement priés de le faire. Je n'avais donc pas à me soucier de quoi que ce soit. Nous étions censés être seuls. Et puis, un combat n'est pas amusant s'il n'y a pas une part de spectacle."
Linmark était sidéré. Comment pouvait-il être aussi sûr de lui? Aussi arrogant? Aussi insolent? Et lui? Comment puovait-il tolérer cette insolence? En fait, il ne le pouvait pas. Il commença à parler en prenant les cimeterres que lui tendait la bleusaille.
"J'apprécie généralement la fougue, mais là, vous dépassez les bornes bleusaille. Je ne peux accepter une telle insolence. Il va falloir trouver une punition adéquate..."
Il réfléchit de longues minutes. Archaon attendait patiemment. Puis, un sourire sadique barra les lèvres du maître lorsqu'une idée germa dans son esprit tortueux.
"Je crois que j'ai trouvé. Je vais vous envoyer en patrouille au-delà du Mur... avec Durandal. Ajouta-t-il après une courte pause. Vous deux, seuls."
Ils restèrent immobiles pendant une bonne minute. Puis Archaon posa les dernières questions.
"-Quand partons-nous? Et quel matériel nous prenons?
-Vous partez cette nuit. juste après la tombée de la nuit. Je ne veux pas qu'on vous voie partir. Quant à l'équipement, vous emportez ce que vous voulez."
Le bleu ne prit même pas la peine de répondre. Il laissa le maître regagner ses quartiers s'éloigna un air exaspéré plaqué que le visage.
La nuit même, ils étaient tous deux partis pour six mois d'expéditions. Tout de noir vêtus, un maigre équipement leur permettrait de survivre les premiers jours. Durandal remarqua que les cimeterres dont, d'après les bruits de couloir, Linmarl était censé être le nouveau propriétaire luisaient faiblement sur le dos d'Archaon. Celui-ci sembla manifestement capter son regard intrigué. Il lui répondit avec un sourire inhabituellement chaleureux :
"Il m'a demandé de les lui céder. Il ne m'a jamais dit de les lui laisser. De plus, il m'a dit que nous pouvions emporter l'équipement que nous vouions pour ce voyage. Je suis donc dans mon droit. j'ai obéi à ses instructions."
Ils éclatèrent franchement de rire en s'enfonçant dans la nuit.
"A votre guise. Je commençais à préférer mon katana. Eternia est bien plus efficace que ces deux cimeterres. De plus, ils me fatiguaient. Ces lames courbes sont trop lourdes et trop mal équilibrées par rapport à ce sabre. Je vous préviens toutefois. Tout autant que pour Eternia, une partie de mon âme a servi à la confection de ces cimeterres. Moi seul peut en tirer le plein-potentiel. Ils resteront excellents, mais ne seront pas meilleurs que les autres armes que vous n'aurez pas manqué de voler aux autre bleus. Je finirais pas une mise en garde. Si je vous cède ces armes de bons coeurs, il faudra me passer surle corps pour récupérer Eternia."
Une ombre passa sur le visage du maître lorsqu'Archaon prononça cette dernière phrase.
"Heureux que mon combat vous ait plus. Je mettrai une dérouillée à tous ceux qui me provoqueront. Vous y comprit s'il le faut. Je ne suis pas du genre à fuir un combat. Quant à la technique que j'emploie, cela ne vous regarde en rien. Ce sont des techniques efficaces. Je ne vois pas pourquoi je m'en priverais. Si leur jalousie les aveugle, c'est leur problème, pas le mien. J'ajouterais que je n'avais convié personne pour assisster à ce duel. Ceux qui ont vu ce combat n'étaient pas expressement priés de le faire. Je n'avais donc pas à me soucier de quoi que ce soit. Nous étions censés être seuls. Et puis, un combat n'est pas amusant s'il n'y a pas une part de spectacle."
Linmark était sidéré. Comment pouvait-il être aussi sûr de lui? Aussi arrogant? Aussi insolent? Et lui? Comment puovait-il tolérer cette insolence? En fait, il ne le pouvait pas. Il commença à parler en prenant les cimeterres que lui tendait la bleusaille.
"J'apprécie généralement la fougue, mais là, vous dépassez les bornes bleusaille. Je ne peux accepter une telle insolence. Il va falloir trouver une punition adéquate..."
Il réfléchit de longues minutes. Archaon attendait patiemment. Puis, un sourire sadique barra les lèvres du maître lorsqu'une idée germa dans son esprit tortueux.
"Je crois que j'ai trouvé. Je vais vous envoyer en patrouille au-delà du Mur... avec Durandal. Ajouta-t-il après une courte pause. Vous deux, seuls."
Ils restèrent immobiles pendant une bonne minute. Puis Archaon posa les dernières questions.
"-Quand partons-nous? Et quel matériel nous prenons?
-Vous partez cette nuit. juste après la tombée de la nuit. Je ne veux pas qu'on vous voie partir. Quant à l'équipement, vous emportez ce que vous voulez."
Le bleu ne prit même pas la peine de répondre. Il laissa le maître regagner ses quartiers s'éloigna un air exaspéré plaqué que le visage.
La nuit même, ils étaient tous deux partis pour six mois d'expéditions. Tout de noir vêtus, un maigre équipement leur permettrait de survivre les premiers jours. Durandal remarqua que les cimeterres dont, d'après les bruits de couloir, Linmarl était censé être le nouveau propriétaire luisaient faiblement sur le dos d'Archaon. Celui-ci sembla manifestement capter son regard intrigué. Il lui répondit avec un sourire inhabituellement chaleureux :
"Il m'a demandé de les lui céder. Il ne m'a jamais dit de les lui laisser. De plus, il m'a dit que nous pouvions emporter l'équipement que nous vouions pour ce voyage. Je suis donc dans mon droit. j'ai obéi à ses instructions."
Ils éclatèrent franchement de rire en s'enfonçant dans la nuit.
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
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- Porte Etendard
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- Contact :
lors
Retour dans le temps :
"J'apprécie généralement la fougue, mais là, vous dépassez les bornes bleusaille. Je ne peux accepter une telle insolence. Il va falloir trouver une punition adéquate... Sachez toutefois qu'ici, ces armes ne vous appartiennent pas. La seule chose qui soit à vous c'est votre serment, vos bras et vos petits secrets sur le passé. De plus, la jalousie qu'éprouvent vos camarades fait du mal à la garde, et c'est inacceptable. Tu arrives, avec tes enseignements de Maître Tang de derrière les fagots, et tu donnes une leçon à un pauvre type qui n'a sûrement jamais connu sa mère, et a grandi dans les taudis d'Anhm-Pormork ! Alors pars en mission avec lui au delà du Mur, et à votre retour tu m'expliquera en quoi ça t'a apporté de la fierté de l'humilier ainsi."
"J'apprécie généralement la fougue, mais là, vous dépassez les bornes bleusaille. Je ne peux accepter une telle insolence. Il va falloir trouver une punition adéquate... Sachez toutefois qu'ici, ces armes ne vous appartiennent pas. La seule chose qui soit à vous c'est votre serment, vos bras et vos petits secrets sur le passé. De plus, la jalousie qu'éprouvent vos camarades fait du mal à la garde, et c'est inacceptable. Tu arrives, avec tes enseignements de Maître Tang de derrière les fagots, et tu donnes une leçon à un pauvre type qui n'a sûrement jamais connu sa mère, et a grandi dans les taudis d'Anhm-Pormork ! Alors pars en mission avec lui au delà du Mur, et à votre retour tu m'expliquera en quoi ça t'a apporté de la fierté de l'humilier ainsi."
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- Lieutenant
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- Localisation : N'essayez pas de me chercher ailleurs que partout.
Retour dans le temps.
Ces armes ont été forgé au delà du Mur. Avec une partie de mon âme. Elles n'appartiennent qu'à moi. Je vous cède ces cimeterres non pas parce que vous l'exigez, mais parce que je vois là une opprtunité de m'en débarasser avec utilité.
Maître Tang? C'est qui cui-là? Je ne donne d'enseignement à personne. Ce n'est pas mon rôle. Je me suis simplement battu à ma manière, avec les techniques qu'on m'a enseigné.
Je ne l'ai pas humilié. Il m'a provoqué en duel, loyalement. Je lui ai répondu tout aussi loyalement. Ni lui ni moi n'avons quoi que ce soit à nous reprocher.
S'ils sont jaloux ce n'est pas mon problème. Je ne contrôle pas leurs sentiments. Vous me parlez de fierté, mais c'est manifestement à eux d'apprendre l'humilité. Je n'ai aucune raison de provoquer cette jalousie s'ils ne viennent pas me chercher des crosses.
Que m'importe qu'il ait grandi seul et dans la pauvreté? Il n'est pas le seul dans ce cas. Nombre des Gardes de la Nuit sont semblables à lui. Moi aussi j'ai grandi seul. Et dans les terres des Sauvageons. Je ne m'en plains pas pour autant.
Je répète donc, je ne l'ai pas humilié. Et quand bien même ce serait le cas, ce n'était pas dans mes intentions.
A présent, si vos inutiles sermons inadaptés sont finis, j'aimerai partir prévenir Durandal et pouvoir préparer mes affaires.
[HRP] Ca peut durer longtemps comme ça. On arrête là? Ou tu tiens absolument à avoir le dernier mot?[/HRP]
Ces armes ont été forgé au delà du Mur. Avec une partie de mon âme. Elles n'appartiennent qu'à moi. Je vous cède ces cimeterres non pas parce que vous l'exigez, mais parce que je vois là une opprtunité de m'en débarasser avec utilité.
Maître Tang? C'est qui cui-là? Je ne donne d'enseignement à personne. Ce n'est pas mon rôle. Je me suis simplement battu à ma manière, avec les techniques qu'on m'a enseigné.
Je ne l'ai pas humilié. Il m'a provoqué en duel, loyalement. Je lui ai répondu tout aussi loyalement. Ni lui ni moi n'avons quoi que ce soit à nous reprocher.
S'ils sont jaloux ce n'est pas mon problème. Je ne contrôle pas leurs sentiments. Vous me parlez de fierté, mais c'est manifestement à eux d'apprendre l'humilité. Je n'ai aucune raison de provoquer cette jalousie s'ils ne viennent pas me chercher des crosses.
Que m'importe qu'il ait grandi seul et dans la pauvreté? Il n'est pas le seul dans ce cas. Nombre des Gardes de la Nuit sont semblables à lui. Moi aussi j'ai grandi seul. Et dans les terres des Sauvageons. Je ne m'en plains pas pour autant.
Je répète donc, je ne l'ai pas humilié. Et quand bien même ce serait le cas, ce n'était pas dans mes intentions.
A présent, si vos inutiles sermons inadaptés sont finis, j'aimerai partir prévenir Durandal et pouvoir préparer mes affaires.
[HRP] Ca peut durer longtemps comme ça. On arrête là? Ou tu tiens absolument à avoir le dernier mot?[/HRP]
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
[HRP] Allez, je vais avancez dans le temps, ou reculer jusqu'au moment de mon premier lange, je me tâte encore... [/HRP]
***Durandal fut réveillé en pleine nuit par ce fichu Archaon. Il se leva en maugréant et appris la tête encore completement dans les vaps qu'il partait en mission de l'autre côté du mur pour une durée inconnue. Durandal s'indigna***
Quoi, on part comme ça sans prevenir ? Mais on aprt faire quoi ? T'as aucune info ou quoi ? Et puis je suis sur un coup avec Bernadette, l'aide cuisinière, je vais quand même pas partir sous un faux pretexte parce que Môssieur à des envies d'aventure, alors que je suis sur le point de conclure !! Sue ce bonne fin de nuit, je faisais un rêve avec Cymoril en plus, et t'oses me déranger !
***Durandal se rallongea***
Sur ce si tu n'as rien de plus concluant, je me rendors, et je retourne à Cymoril !
***Baille et ferme les yeux***
***Durandal fut réveillé en pleine nuit par ce fichu Archaon. Il se leva en maugréant et appris la tête encore completement dans les vaps qu'il partait en mission de l'autre côté du mur pour une durée inconnue. Durandal s'indigna***
Quoi, on part comme ça sans prevenir ? Mais on aprt faire quoi ? T'as aucune info ou quoi ? Et puis je suis sur un coup avec Bernadette, l'aide cuisinière, je vais quand même pas partir sous un faux pretexte parce que Môssieur à des envies d'aventure, alors que je suis sur le point de conclure !! Sue ce bonne fin de nuit, je faisais un rêve avec Cymoril en plus, et t'oses me déranger !
***Durandal se rallongea***
Sur ce si tu n'as rien de plus concluant, je me rendors, et je retourne à Cymoril !
***Baille et ferme les yeux***
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- Lieutenant
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S'il avait été plus réveillé, Durandal aurait entendu le petit rire macchiavélique qui s'éleva de la gorge d'Archaon.
Quelques secondes après qu'il eut retiré la couverture vers lui, une sensation glacée lui parcourut tout le corps. Il se releva en sursaut. Archaon tenait un seau encore dégoulinant; un sourire goguenard lui barrait les lèvres.
"Je te prierai de croire que cette mission ne m'enchante pas plus que toi. Mais c'est en guise de punition que Linmark a ordonné ceci. Alors arrête de rouspéter et prépare-toi."
Durandal se leva, commença à s'habiller et et récupérer tout ce qui pourrait lui être nécessaire. Une fois prêt, ils quittèrent la chambre. Durandal lança un dernier regard au lit qu'il quittait pour un bon moment.
Archaon lui lança un coups d'oeil en coin.
"Cymoril hein?"
Son éternel sourire plaqué sur les lèvres, il ne lui laissa pas le loisir de répondre et partit sans un regard en arrière.
Quelques secondes après qu'il eut retiré la couverture vers lui, une sensation glacée lui parcourut tout le corps. Il se releva en sursaut. Archaon tenait un seau encore dégoulinant; un sourire goguenard lui barrait les lèvres.
"Je te prierai de croire que cette mission ne m'enchante pas plus que toi. Mais c'est en guise de punition que Linmark a ordonné ceci. Alors arrête de rouspéter et prépare-toi."
Durandal se leva, commença à s'habiller et et récupérer tout ce qui pourrait lui être nécessaire. Une fois prêt, ils quittèrent la chambre. Durandal lança un dernier regard au lit qu'il quittait pour un bon moment.
Archaon lui lança un coups d'oeil en coin.
"Cymoril hein?"
Son éternel sourire plaqué sur les lèvres, il ne lui laissa pas le loisir de répondre et partit sans un regard en arrière.
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
Durandal se leva en sursaut. Ciel qu'il avait horreur de se reveiller avec de l'eau froide. Il se precipita près du feu de sa chambre en quête de chaleur. Une fois réchauffé, il se résolut à s'habiller et à faire son packetage. Il ne prit avec lui que le strict minimum au poin de vue vestimentaire. Il prit également son briquet d'amadou, son materiel de cuisine, quelques vivres et une carte. Il enfila une épaisse cape noire, tira le capuchon sur sa figure et sortit de sa chambre.
Avant de sortir du fort, il passa réveiller Bernadette pour lui dire au-revoir et resista au plaisir sadique d'aller réveiller le vieux Vardamir, pour qu'il se réveille en sursaut et se coince son genre. Mais non ce n'etait pas le genre de Durandal. C'est pourquoi il se contenta juste de rentrer en catimini dans sa chambre et de tremper sa main dans un verre d'eau.
Durandal alla ensuite à l'armurerie où il prit une hache qu'il mit à son côté. Il prit également un bâton en chêne aussi grand que lui et aussi gros que son poing fermé. Il prit également au cas où un paquet de simples qu'il mit avec son paquetage. Il se rendit ensuite à la porte du fort. Archaon l'attendait. Ils pouvaient désormais partir.
Avant de sortir du fort, il passa réveiller Bernadette pour lui dire au-revoir et resista au plaisir sadique d'aller réveiller le vieux Vardamir, pour qu'il se réveille en sursaut et se coince son genre. Mais non ce n'etait pas le genre de Durandal. C'est pourquoi il se contenta juste de rentrer en catimini dans sa chambre et de tremper sa main dans un verre d'eau.
Durandal alla ensuite à l'armurerie où il prit une hache qu'il mit à son côté. Il prit également un bâton en chêne aussi grand que lui et aussi gros que son poing fermé. Il prit également au cas où un paquet de simples qu'il mit avec son paquetage. Il se rendit ensuite à la porte du fort. Archaon l'attendait. Ils pouvaient désormais partir.
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- Lieutenant
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Le départ se fit en douceur. Personne ne vint les retenir. En fait, personne ne sut jamais qu'ils étaient partis avant le lendemain matin lorsqu'ils manquèrent à l'appel des corvées.
Les deux premiers jours de voyage se firent sous un beau soleil. Pas un chat à l'horizon. Pas un monstre, pas un Sauvageon. Le calme en devenait inquiétant. La tension était encore aggravée par l'attitude glaciale, voire ouvertement hostile d'Archaon vis-à-vis de son compagnon d'infortune.
Après que le soleil de plomb de la journée ait dispensé sa chaleur écrasante, ce fut la bienfaisante fraicheur du crépuscule qui baigna les deux recrues. Alors qu'ils s'apprêtaient à camper à l'orée d'une forêt, de multiples paires d'yeux jaune brillant éclairèrent la nuit. Ne s'en étant pas encore rendu compte, l'un comme l'autre étaient occupés à monter la tente qu'ils partageraient cette nuit encore...
Les deux premiers jours de voyage se firent sous un beau soleil. Pas un chat à l'horizon. Pas un monstre, pas un Sauvageon. Le calme en devenait inquiétant. La tension était encore aggravée par l'attitude glaciale, voire ouvertement hostile d'Archaon vis-à-vis de son compagnon d'infortune.
Après que le soleil de plomb de la journée ait dispensé sa chaleur écrasante, ce fut la bienfaisante fraicheur du crépuscule qui baigna les deux recrues. Alors qu'ils s'apprêtaient à camper à l'orée d'une forêt, de multiples paires d'yeux jaune brillant éclairèrent la nuit. Ne s'en étant pas encore rendu compte, l'un comme l'autre étaient occupés à monter la tente qu'ils partageraient cette nuit encore...
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
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- Porte Etendard
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- Localisation : quelque part sur Hibernia.
[HRP] voila suite a la question de linmark sur la page précédente non je ne suis po mort et je vais poster ici méme avant la fin de semaine
je travaille sur mon texte depuis plusieur jour et vous avez voir du grand du trés grand terissa niveau RP [/HRP]
je travaille sur mon texte depuis plusieur jour et vous avez voir du grand du trés grand terissa niveau RP [/HRP]
Sans revanche , il ne peut y avoir de redemption.
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- Porte Etendard
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- Localisation : quelque part sur Hibernia.
le soleil connencait a décliner a l'horizon, la chaleur se faisait moins oppressentes que durant l'aprés-midi.
Un grande silhouéte encapuchonné et tout de noir vetu avancait d'un pas calme mais néanmoins décider vers les grands portes de l'un des forts du mur.
Un immense baton plus grand que lui a la main et une lame dans le dos que seul la garde dépasser d'une toile de jute marron, l'homme arriva en vue des gardes et baissa la téte.
-"Qui vient au mur, décline ton identité voyageur" déclara d'une voix forte le bleu en faction.
-"mon nom ne regarde que moi ménne moi au lord commandant Borune, je te prie la journée fut assez peinible pour ne pas avoir a discuter avec toi!"
le bleu se tourna vers son accolyte un sourire moqueur au lévre.
-"je crois que le monsieur na po compris"
A cet instant les deux hommes épée a la main se jetaire sur le grand gaillard.
En un tour sur lui-méme se dernier fit voler les armes de ses adversaires et les plaqua au mur son baton sous leur gorge.
-"je veu voir le lord commandant, tu sera bien assez tot qui je suis"
Une lueur jailli des yeux de l'un des bleus, il vennait de voir le pommeau de l'épée, un chéne ardent.
-"Le chéne ardent dit-il, comme pour lui méme.
son amie ne compris pas
-"je croyais que c'était une légende, un mythe de la garde de nuit, vous étes......."
-"Oui c'est bien moi, mais je te demanderai de te taire, jusqu'a ce que le lord commandant m'est reçu."
-"Bien, je ferais selon vos ordres messire."
Le rafus de la bagarre avait ameuter beaucoup de monde dans la cour du fort, tous grades confondus tous silencier devant cette immense gaillard qui suivait le bleu comme son ombre.
Personne ne le reconnu et pourtant son nom était connu de tous et toutes.
Un quart d'heure plus tard, la porte du lord commandant s'ouvrit et l'homme pu enfin rentrer.
-"Qui étes vous pour vopus présenter ainsi devant encapuchonné aprés avoir défait deux de mes hommes, je vous somme de me répondre ou il vous en coutera." dit le lord commandant d'un voix forte et ferme.
l'homme fit un pas, mis genous à terre, baissa le téte un peu plus et découvri son visage.
Un visag plein de cicatrice les cheveux long.
-"Lord commandant pardonné mon retard, je suis parti depuis plus d'un an et 9mouis et je vous revient seulement aujourd'hui" dit-il.
-"Mais par les sept qui est tu donc"
L'homme revela la téte lentement et découvri son visage au yeux ébahis du lord commandant;
-"Terissa." dit-il avec stupeur.
-"oui commandant, puissiez vous et les autres me pardoonné pour cet absence, si par cela je dois étre comdamner a mort pour désertion j'accepterai ma sentance"
-" je.... nous... te croyons mort, mais ou etais tu assied toi raconte moi"
-"Tout d'abord je tiens a vous informé que 3500 hommes et femmes arrivent a ma suite afin de préter serment a la garde de nuit, pouvez vous les faire acceuillir, j'ai remplis la mission que vous m'aviez confier"
-"Oui bien sur, le sourire au lévre le commandant alla dépécher le beu en faction a sa porte pour les préparatifs d'arrivé"
-" Commandant une derniére chose"
-"parle je t'écoute, mais amis tous autant qu'ils était....", de la tristesse se faisait sentir dans ca voix.
-"Ils sont vivants tous , thargarys, supernounours notre intendant en second, cyromil, galan dracos, linmark, bien de chose on changer ici, il fodra du temps pour......"
-"Je sais...." et il commenca le récit de son périples au lord commandant, ce mes qu'au lever du jour qu'il prit fin.
-"une chambre ta été preparer pour te reposer demain tu prendra possesion de ton fort et de tes hommes.3
-"Merci commandant, je....."
-"Ne dit plus rien vas te reposer, et soit la bienvenue chez toi, j'attendrai ton reveil pour annocer ton retour."
-" Merci."
Il tourna les talons et sorti du cloitre pour rejoindre sa cellule.
Aprés quelque métres, capuche remis sur ca téte, il apercu quelqu'un avancer vers lui, il le reconnu de suite , cette stature ........
-"GREGOR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
Un grande silhouéte encapuchonné et tout de noir vetu avancait d'un pas calme mais néanmoins décider vers les grands portes de l'un des forts du mur.
Un immense baton plus grand que lui a la main et une lame dans le dos que seul la garde dépasser d'une toile de jute marron, l'homme arriva en vue des gardes et baissa la téte.
-"Qui vient au mur, décline ton identité voyageur" déclara d'une voix forte le bleu en faction.
-"mon nom ne regarde que moi ménne moi au lord commandant Borune, je te prie la journée fut assez peinible pour ne pas avoir a discuter avec toi!"
le bleu se tourna vers son accolyte un sourire moqueur au lévre.
-"je crois que le monsieur na po compris"
A cet instant les deux hommes épée a la main se jetaire sur le grand gaillard.
En un tour sur lui-méme se dernier fit voler les armes de ses adversaires et les plaqua au mur son baton sous leur gorge.
-"je veu voir le lord commandant, tu sera bien assez tot qui je suis"
Une lueur jailli des yeux de l'un des bleus, il vennait de voir le pommeau de l'épée, un chéne ardent.
-"Le chéne ardent dit-il, comme pour lui méme.
son amie ne compris pas
-"je croyais que c'était une légende, un mythe de la garde de nuit, vous étes......."
-"Oui c'est bien moi, mais je te demanderai de te taire, jusqu'a ce que le lord commandant m'est reçu."
-"Bien, je ferais selon vos ordres messire."
Le rafus de la bagarre avait ameuter beaucoup de monde dans la cour du fort, tous grades confondus tous silencier devant cette immense gaillard qui suivait le bleu comme son ombre.
Personne ne le reconnu et pourtant son nom était connu de tous et toutes.
Un quart d'heure plus tard, la porte du lord commandant s'ouvrit et l'homme pu enfin rentrer.
-"Qui étes vous pour vopus présenter ainsi devant encapuchonné aprés avoir défait deux de mes hommes, je vous somme de me répondre ou il vous en coutera." dit le lord commandant d'un voix forte et ferme.
l'homme fit un pas, mis genous à terre, baissa le téte un peu plus et découvri son visage.
Un visag plein de cicatrice les cheveux long.
-"Lord commandant pardonné mon retard, je suis parti depuis plus d'un an et 9mouis et je vous revient seulement aujourd'hui" dit-il.
-"Mais par les sept qui est tu donc"
L'homme revela la téte lentement et découvri son visage au yeux ébahis du lord commandant;
-"Terissa." dit-il avec stupeur.
-"oui commandant, puissiez vous et les autres me pardoonné pour cet absence, si par cela je dois étre comdamner a mort pour désertion j'accepterai ma sentance"
-" je.... nous... te croyons mort, mais ou etais tu assied toi raconte moi"
-"Tout d'abord je tiens a vous informé que 3500 hommes et femmes arrivent a ma suite afin de préter serment a la garde de nuit, pouvez vous les faire acceuillir, j'ai remplis la mission que vous m'aviez confier"
-"Oui bien sur, le sourire au lévre le commandant alla dépécher le beu en faction a sa porte pour les préparatifs d'arrivé"
-" Commandant une derniére chose"
-"parle je t'écoute, mais amis tous autant qu'ils était....", de la tristesse se faisait sentir dans ca voix.
-"Ils sont vivants tous , thargarys, supernounours notre intendant en second, cyromil, galan dracos, linmark, bien de chose on changer ici, il fodra du temps pour......"
-"Je sais...." et il commenca le récit de son périples au lord commandant, ce mes qu'au lever du jour qu'il prit fin.
-"une chambre ta été preparer pour te reposer demain tu prendra possesion de ton fort et de tes hommes.3
-"Merci commandant, je....."
-"Ne dit plus rien vas te reposer, et soit la bienvenue chez toi, j'attendrai ton reveil pour annocer ton retour."
-" Merci."
Il tourna les talons et sorti du cloitre pour rejoindre sa cellule.
Aprés quelque métres, capuche remis sur ca téte, il apercu quelqu'un avancer vers lui, il le reconnu de suite , cette stature ........
-"GREGOR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
Sans revanche , il ne peut y avoir de redemption.
- Gregor
- Sorcier
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- Enregistré le : 09 févr. 2004, 14:20
- Lecture du moment : Hypérion
- Localisation : Seine et Marne
- Contact :
[HRP] mdr comment je me fais enbrigader la dedans lol [/HRP]
"Tiens, tiens" dit Gregor, l'air même pas surpris de revoir Terissa "C'est le printemps ? L'oisillon rentre au nid? Il circule sur toi de drôles de rumeurs. J'ai entendu le chiffre invraisemblable de 3500 recrues. N'importe quoi ! Je demande à voir. A croire que tu as trop fréquenté les tavernes Dornienne et ses maudits habitants connus pour leur légendaire exagération de toutes choses."
Marquant un temps de réflexion, et un petit sourire apparaissant au coin des lèvres. "Mais bon les distractions étant rares, allons à la salle commune et raconte nous tes affabulations derrière une bonne pinte de ale" Et d'un rire joyeux ils allèrent de bon train vers la cantine.
"Tiens, tiens" dit Gregor, l'air même pas surpris de revoir Terissa "C'est le printemps ? L'oisillon rentre au nid? Il circule sur toi de drôles de rumeurs. J'ai entendu le chiffre invraisemblable de 3500 recrues. N'importe quoi ! Je demande à voir. A croire que tu as trop fréquenté les tavernes Dornienne et ses maudits habitants connus pour leur légendaire exagération de toutes choses."
Marquant un temps de réflexion, et un petit sourire apparaissant au coin des lèvres. "Mais bon les distractions étant rares, allons à la salle commune et raconte nous tes affabulations derrière une bonne pinte de ale" Et d'un rire joyeux ils allèrent de bon train vers la cantine.
Ma bibliothèque : viewtopic.php?f=9&t=4351
[HRP : Desolé Archaon, j'avais pas vu que t'avais répondu /HRP]
Durandal dormait profondément. Il se retourna soudainement et se réveilla. Une racine le gêna et le fit pester contre cette vie à la con. Il aurait été tellement plus benez' au Mur. Il ouvrit les yeux afin de trouver un endroit moins noueux pour pioncer. Il se leva et se mit en quête d'un nouvel endroit quand ses yeux en croisèrent. Bizarres, les yeux de l'autre cloporte n'étaient pas jaunes. Soudain prenant conscience de se qui se tapissait peut être derrière ses yeux, les chausses de la Bleusaille s'humidifièrent rapidement, comme sous une pluis battante, mais en plus localisé. Il réveilla Archaon doucement mais non brutalité. Il lui enjoigna de se le ver et de se casser rapidos, ces bois ne lui inspiraient pas confiance. Durandal conduisit le merveilleux groupe de deux clamins à toute allure, démontrant une fois n'est pas coutume, qu'une personne motivé par un truc aussi insignifiant que la perspective d'être bouffé, ou dévoré, cuit, rôti, embroché ou tout autres truc culinaires pouvaiet déployaient des trésors d'endurance pédestre. DUrandal ramena le groupe de deux au MUR d'où il toqua comme un taré le suppliant de les laisser rentrer. Jurant ses grands Dieux qu'il était poursuivi par les Autres, que Craster le croyait responsable de trois homicides sur ses gosses, et qu'une armmée sauvageonne était à ses trousses accompagnées d'une phalange de géants***
Durandal dormait profondément. Il se retourna soudainement et se réveilla. Une racine le gêna et le fit pester contre cette vie à la con. Il aurait été tellement plus benez' au Mur. Il ouvrit les yeux afin de trouver un endroit moins noueux pour pioncer. Il se leva et se mit en quête d'un nouvel endroit quand ses yeux en croisèrent. Bizarres, les yeux de l'autre cloporte n'étaient pas jaunes. Soudain prenant conscience de se qui se tapissait peut être derrière ses yeux, les chausses de la Bleusaille s'humidifièrent rapidement, comme sous une pluis battante, mais en plus localisé. Il réveilla Archaon doucement mais non brutalité. Il lui enjoigna de se le ver et de se casser rapidos, ces bois ne lui inspiraient pas confiance. Durandal conduisit le merveilleux groupe de deux clamins à toute allure, démontrant une fois n'est pas coutume, qu'une personne motivé par un truc aussi insignifiant que la perspective d'être bouffé, ou dévoré, cuit, rôti, embroché ou tout autres truc culinaires pouvaiet déployaient des trésors d'endurance pédestre. DUrandal ramena le groupe de deux au MUR d'où il toqua comme un taré le suppliant de les laisser rentrer. Jurant ses grands Dieux qu'il était poursuivi par les Autres, que Craster le croyait responsable de trois homicides sur ses gosses, et qu'une armmée sauvageonne était à ses trousses accompagnées d'une phalange de géants***
Ne dites jamais Fontaine
- Bran Noircorbac
- Sorcier
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- Enregistré le : 21 janv. 2005, 22:29
- Localisation : Elsass
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[hrp] je commence en tant que premier éclaireur...oui je commence enfin. me suis décidé. ayé cool hein? non? ah bon.
"Mais bon sang, qu'est ce que je fait ici?"
Perdu au milieu de nulle part, si tant milieu il y avait, le premier éclaireur Bran Darkraven, moi-même, pestait contre cette "banale mission de routine"
Tout allait bien jusqu'hier. Une patrouille banale de plusieurs jours, une semaine, deux voire en cas d'événement intéressant, mais pas plus. Lever aux premières aurores, repas solide, vérifications d'usage, dont celle de l'itinéraire du jour, départ dans une atmosphère un peu fraîche, mais pas trop, marche plus ou moins vigilante , marche, pause, marche pause, marche, repas...
C'était vers le milieu de l'après-midi, quand la petite troupe menée par moi s'était engagée sur ses dernière marche avant la nuit, que les choses s'étaient compliquées.
Nous avions entendu un bruit suspect, en direction d'un petit monticule rocheux. J'envoyais deux hommes pour prise d'informations. Je ne les revis plus. Inquiet, je décidais d'y aller, avec le dénommé Bart. Le monticule semblait normal. Un tas de rochers sans grand intérêt. Pas de traces.
-Fais le tour par la droite, je prend la gauche...reste vigilant...
-Oui.
Lui non plus je ne le revis pas.. J'ai fait le tour du monticule sans le croiser, et, revenu à ma position de départ:
-Mais putain, il est passé ou, lui aussi? Les gars, la pause-pisse, c'est fini! Criais-je.
Silence. Je me senti mal, tout un coup.
Une atmosphère lugubre s'installait peu à peu sur la scène. Je décidais de ne pas m'éterniser.
Aucune signe des trois disparus, rien. Pas une branche brisée ou quoi que ce soit...et pourtant, à force de patrouiller je savais reconnaître des traces de passage d'un écureuil l'avant-veille. Mais là...rien. Même à partir du point ou je savais qu'ils sont passés. Si. Mes traces.
Le plus fort, c'est lorsque je voulu rejoindre le reste de la patrouille. Disparue. Pas une trace, naturellement. Que dalle. L'endroit avait accueilli une quinzaine de personnes, des soldats en maille légères, habitués certes à ne pas trop laisser de signes, mais...putain, il n'y avait RIEN! A croire qu'il n'y avait pas un être vivant à des centaines de pieds à la ronde!
« C'est pas possible, je vais me réveiller. Je suis encore dans ma paillasse, au chaud. La patrouille, c'est que demain, j'ai le temps. Tout va bien se dérouler et quand je rentrerais, je... »
C'est là que j'ai entendu ce bruit. Un truc vraiment pas net. Un peu comme une épée émoussée qu'on frottait contre de la glace, mais en plus...froid. Je n'ai même pas cherché à percuter. J'ai couru. Vite.
Et voilà, comment on se perd en pleine forêt hostile, avec un froid nocturne à ne pas mettre un Starck dehors.
Merveilleux. Passé une nuit de rêve, avec un feu poussif, en me demandant si la direction que je prenais était bien celle du sud.
« C'est pas gagné... »
"Mais bon sang, qu'est ce que je fait ici?"
Perdu au milieu de nulle part, si tant milieu il y avait, le premier éclaireur Bran Darkraven, moi-même, pestait contre cette "banale mission de routine"
Tout allait bien jusqu'hier. Une patrouille banale de plusieurs jours, une semaine, deux voire en cas d'événement intéressant, mais pas plus. Lever aux premières aurores, repas solide, vérifications d'usage, dont celle de l'itinéraire du jour, départ dans une atmosphère un peu fraîche, mais pas trop, marche plus ou moins vigilante , marche, pause, marche pause, marche, repas...
C'était vers le milieu de l'après-midi, quand la petite troupe menée par moi s'était engagée sur ses dernière marche avant la nuit, que les choses s'étaient compliquées.
Nous avions entendu un bruit suspect, en direction d'un petit monticule rocheux. J'envoyais deux hommes pour prise d'informations. Je ne les revis plus. Inquiet, je décidais d'y aller, avec le dénommé Bart. Le monticule semblait normal. Un tas de rochers sans grand intérêt. Pas de traces.
-Fais le tour par la droite, je prend la gauche...reste vigilant...
-Oui.
Lui non plus je ne le revis pas.. J'ai fait le tour du monticule sans le croiser, et, revenu à ma position de départ:
-Mais putain, il est passé ou, lui aussi? Les gars, la pause-pisse, c'est fini! Criais-je.
Silence. Je me senti mal, tout un coup.
Une atmosphère lugubre s'installait peu à peu sur la scène. Je décidais de ne pas m'éterniser.
Aucune signe des trois disparus, rien. Pas une branche brisée ou quoi que ce soit...et pourtant, à force de patrouiller je savais reconnaître des traces de passage d'un écureuil l'avant-veille. Mais là...rien. Même à partir du point ou je savais qu'ils sont passés. Si. Mes traces.
Le plus fort, c'est lorsque je voulu rejoindre le reste de la patrouille. Disparue. Pas une trace, naturellement. Que dalle. L'endroit avait accueilli une quinzaine de personnes, des soldats en maille légères, habitués certes à ne pas trop laisser de signes, mais...putain, il n'y avait RIEN! A croire qu'il n'y avait pas un être vivant à des centaines de pieds à la ronde!
« C'est pas possible, je vais me réveiller. Je suis encore dans ma paillasse, au chaud. La patrouille, c'est que demain, j'ai le temps. Tout va bien se dérouler et quand je rentrerais, je... »
C'est là que j'ai entendu ce bruit. Un truc vraiment pas net. Un peu comme une épée émoussée qu'on frottait contre de la glace, mais en plus...froid. Je n'ai même pas cherché à percuter. J'ai couru. Vite.
Et voilà, comment on se perd en pleine forêt hostile, avec un froid nocturne à ne pas mettre un Starck dehors.
Merveilleux. Passé une nuit de rêve, avec un feu poussif, en me demandant si la direction que je prenais était bien celle du sud.
« C'est pas gagné... »
Votre talent [lecture de textes vains] vient d'augmenter d'un point
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[HRP] Pas de soucis, rien ne presse. Pitain c'est un péteux le Durandal... Moi j'y retourne.[/HRP]
Archaon n'avait pas encore eu le temps de se réveiller que le couard qui lui servait de compagnon avait déjà pris une certaine avance.
"Peuh. Le lâche. Linmark va m'entendre de m'avoir donné un frère d'armes tel que lui. Pouvait pas m'envoyer un guerrier digne de ce nom? C'est trop lui demander?!" Pestait rageusement la bleusaille.
Mais pourquoi donc avait-il prit peur de la sorte? Que ce soit un pleutre, d'accord, mais quand bien même, on ne détale pas plus vite qu'un lapin sans raison. C'est alors que ses yeux couleur d'acier croisèrent une autre paire d'yeux, jaune celle-là. Mais qu'était-ce?
Archaon ne s'inquiètait pas outre-mesure, ce n'était pas sa première attaque nocturne. Il dégaina toutefois ses cimeterres. Une fine lueur argenté émanait de l'un d'eux. Le brandissant comme une torche, il avanca, prudemment, un pas après l'autre. Un craquement se fit entendre derrière lui. Se retournant vivement, il devint livide.
Une créature s'apparentant à un ver de terre, mais en des proportions titanesques se dressait devant lui. Deux énormes mandibules cisaillaient l'air devant sa gueule béante d'où dégoulinait une bave suffisament acide pour le réduire à l'état de flaque de liquide fumant.
Les yeux jaunes derière lui finirent par se montrer en pleine lumière : la progéniture du ver des sables. A peine plus petite qu'Archaon, mais tout aussi dangereuse que son géniteur.
"Ca faisait longtemps que je n'en avais pas vu. Et le dernier était tout seul. Ca va pas être de la tarte. " Lâcha laconiquement le Garde de Nuit.
Il se mit en garde face au plus gros des deux vers, plia les genoux, et se prépara à bondir. Contre toutes attentes, ce fut "l'enfant" qui chargea, contractant les anneaux muculeux de son corps, il se projeta d'une détente formidable vers le jeune homme qui eut tout juste le temps de se jeter en avant... droit vers l'adulte.
S'attendant à être déchiqueté d'un instant à l'autre, il repensa à son maître. Des milliers de souvenirs defferlèrent en lui... mais rien ne vint. Archaon regarda autour de lui. Le "petit" ver se redressait lentement, mais le gros ne bougeait pas d'un poil.
"Oh je vois. Tu lui apprends à chasser? Bien, très bien. On va en profiter. Viens prendre la première leçon : la résistance d'une cible aux abois."
Tous deux se mettaient en place pour le second round.
Le ver déboula de nouveau vers le guerrier, qui fit un pas de côté et en profita pour placer tros coups de cimeterres sur la créature. Pas un n'érafla sa carapace.
"Saleté! Est-ce que t'as au moins un point faible?"
Son instinct de survie entra en action. Il observa tot le ver en quelques secondes. Les yeux? Trops protégés. Le dos? Trop solide. Le ventre? Impossible à atteindre.
"Bon, tu ne me laisses que peu de choix. Grr. J'ai horreur de ça."
Le prédateur se jeta de nouveau sur lui. Encore une esquive... mais pas de riposte.
Archaon était en train de courir comme la fois où un nid entier de gundarks le pourchassait. Finalement, Durandal avait eu raison. Même à deux, ils n'auraient rien pu faire.
Le chemin qu'ils avaient parcouru en une journée, il ne lui fallut que quelques heures pour le faire en sens-inverse. Durandal était en train de jurer ses grands dieux qu'une armada d'ennemis le traquait quand Archaon arriva, ajoutant foi à ses propos.
Instantanément, les portes commencèrent à s'ouvrir, laissant passer deux fusées. Elles se refermèrent aussitôt. La nuit allait être longue pour la Garde... très longue.
Archaon n'avait pas encore eu le temps de se réveiller que le couard qui lui servait de compagnon avait déjà pris une certaine avance.
"Peuh. Le lâche. Linmark va m'entendre de m'avoir donné un frère d'armes tel que lui. Pouvait pas m'envoyer un guerrier digne de ce nom? C'est trop lui demander?!" Pestait rageusement la bleusaille.
Mais pourquoi donc avait-il prit peur de la sorte? Que ce soit un pleutre, d'accord, mais quand bien même, on ne détale pas plus vite qu'un lapin sans raison. C'est alors que ses yeux couleur d'acier croisèrent une autre paire d'yeux, jaune celle-là. Mais qu'était-ce?
Archaon ne s'inquiètait pas outre-mesure, ce n'était pas sa première attaque nocturne. Il dégaina toutefois ses cimeterres. Une fine lueur argenté émanait de l'un d'eux. Le brandissant comme une torche, il avanca, prudemment, un pas après l'autre. Un craquement se fit entendre derrière lui. Se retournant vivement, il devint livide.
Une créature s'apparentant à un ver de terre, mais en des proportions titanesques se dressait devant lui. Deux énormes mandibules cisaillaient l'air devant sa gueule béante d'où dégoulinait une bave suffisament acide pour le réduire à l'état de flaque de liquide fumant.
Les yeux jaunes derière lui finirent par se montrer en pleine lumière : la progéniture du ver des sables. A peine plus petite qu'Archaon, mais tout aussi dangereuse que son géniteur.
"Ca faisait longtemps que je n'en avais pas vu. Et le dernier était tout seul. Ca va pas être de la tarte. " Lâcha laconiquement le Garde de Nuit.
Il se mit en garde face au plus gros des deux vers, plia les genoux, et se prépara à bondir. Contre toutes attentes, ce fut "l'enfant" qui chargea, contractant les anneaux muculeux de son corps, il se projeta d'une détente formidable vers le jeune homme qui eut tout juste le temps de se jeter en avant... droit vers l'adulte.
S'attendant à être déchiqueté d'un instant à l'autre, il repensa à son maître. Des milliers de souvenirs defferlèrent en lui... mais rien ne vint. Archaon regarda autour de lui. Le "petit" ver se redressait lentement, mais le gros ne bougeait pas d'un poil.
"Oh je vois. Tu lui apprends à chasser? Bien, très bien. On va en profiter. Viens prendre la première leçon : la résistance d'une cible aux abois."
Tous deux se mettaient en place pour le second round.
Le ver déboula de nouveau vers le guerrier, qui fit un pas de côté et en profita pour placer tros coups de cimeterres sur la créature. Pas un n'érafla sa carapace.
"Saleté! Est-ce que t'as au moins un point faible?"
Son instinct de survie entra en action. Il observa tot le ver en quelques secondes. Les yeux? Trops protégés. Le dos? Trop solide. Le ventre? Impossible à atteindre.
"Bon, tu ne me laisses que peu de choix. Grr. J'ai horreur de ça."
Le prédateur se jeta de nouveau sur lui. Encore une esquive... mais pas de riposte.
Archaon était en train de courir comme la fois où un nid entier de gundarks le pourchassait. Finalement, Durandal avait eu raison. Même à deux, ils n'auraient rien pu faire.
Le chemin qu'ils avaient parcouru en une journée, il ne lui fallut que quelques heures pour le faire en sens-inverse. Durandal était en train de jurer ses grands dieux qu'une armada d'ennemis le traquait quand Archaon arriva, ajoutant foi à ses propos.
Instantanément, les portes commencèrent à s'ouvrir, laissant passer deux fusées. Elles se refermèrent aussitôt. La nuit allait être longue pour la Garde... très longue.
La réalité telle que nous la perçevons n'est qu'une illusion; et au travers de notre perception, l'illusion devient réalité.
Taïauuuuu
c'est le cri que poussa Durandal lors de l'ouverture des portes. Les gardes virent un éclair noir passe et se ruer dans les batiments du fort, direction la cuisine. Arrivé lã, la bleusaille, enleva ses habits de façon ã rester en justaucorps, et commença ã se réchauffer les miches en claquant des dents aupres du feu. Apres avoir entendu des gloussemsnts,il se retourna et vit des visages de servantes, pouffer et se precipiter dans les corridors en riant. Baissant les yeux,ilput remarquer que la partie posterieure de son justaucorps avaient souffert desa nuit pres d'une racine, et montre desormais une splendide raie.
Rouge de confusion,Durandal, remonta le tissu afin de se cacher en maugreant contre le mauvais sort. Mais son exhibition avait eu un avantage, il n'y avit plus personne dans les cuisines.
Les miches chaudes de pain,les sangliers ã la broche cuisant dans l'âtre, les potages aux légumes de saison cuisant dans les marmites, tout cela reveilla un espece d'ogre dans l'estomac de Durandal.
La blausaille tenta de resister ã cet appel, mais un filet insidieux de tourte au miel,rentra insidieusemant dans ses narines. S'en fut trop pour lui. Tout mouillé, Durandal s'approcha du garde manger.
c'est le cri que poussa Durandal lors de l'ouverture des portes. Les gardes virent un éclair noir passe et se ruer dans les batiments du fort, direction la cuisine. Arrivé lã, la bleusaille, enleva ses habits de façon ã rester en justaucorps, et commença ã se réchauffer les miches en claquant des dents aupres du feu. Apres avoir entendu des gloussemsnts,il se retourna et vit des visages de servantes, pouffer et se precipiter dans les corridors en riant. Baissant les yeux,ilput remarquer que la partie posterieure de son justaucorps avaient souffert desa nuit pres d'une racine, et montre desormais une splendide raie.
Rouge de confusion,Durandal, remonta le tissu afin de se cacher en maugreant contre le mauvais sort. Mais son exhibition avait eu un avantage, il n'y avit plus personne dans les cuisines.
Les miches chaudes de pain,les sangliers ã la broche cuisant dans l'âtre, les potages aux légumes de saison cuisant dans les marmites, tout cela reveilla un espece d'ogre dans l'estomac de Durandal.
La blausaille tenta de resister ã cet appel, mais un filet insidieux de tourte au miel,rentra insidieusemant dans ses narines. S'en fut trop pour lui. Tout mouillé, Durandal s'approcha du garde manger.
Ne dites jamais Fontaine