
Ce qu'il ya de biens avec Salvatore c'est qu'il écrit de la fantasy épique sans prise de tête et qui donne envie de jouer à Donj', surtout depuis un certains nombres de tomes où le politiquement correct à disparu. A une époque ce tome aurait probablement été brûlé par les Ligues de Moralité et de Vertue bien-pensantes aux USA.Le voile qui recouvrait le Nord a disparu. La victoire a été remportée à Castelmithral, mais Drizzt et ses compagnons savent qu'un mal puissant rôde sous la surface. Les elfes noirs de Menzoberranzan et leur Archimage Gromph sont en proie à des luttes internes, et peut-être assez désespérés pour faire appel aux forces démoniaques de l'Abîme, et déclencher une catastrophe à laquelle nul ne peut faire face. Archimage a tout ce dont rêvent les fans de Drizzt : de l'action, de l'aventure, des personnages plus vrais que nature et de nombreux elfes noirs !
Pour en revenir à l'histoire, d'un côté, mes chers Elfes Noirs toujours à intriguer: La mère matrone Quenthel Baenre (première Maison de Menzoberranzan) est convaincue qu'un retour aux anciennes traditions est nécessaire, à une époque où les démons sillonnaient les rue de la ville qui de fait était en état de guerre permanent.
De l'autre mes potes Nains qui vont former une armée de plus de 4000 menés par 3 Rois afin d'aller reprendre Gauntlgrym et la forge alimenté par un être Primordial du Feu.
Le bouquin est juste épique (3 grosses batailles sur une bonne cinquantaine de pages) et ne demande pas grande réflexion. Toujours une mise en scène des Drows parfaites (ha leur conseil de surveillance!) avec en prime le niveau N+1: Lolth avec le balor Erttu.
Mais, nouveau traducteur qui gâche un peu le plaisir, certains termes obligent a aller chercher dans le dictionnaire là ou on appréciait justement le côté simple, certains noms propres ont chnagé (Crack et Whack par exemple...).
Au terme du premier Roman, Salvatore semble vouloir détruire ce qu'il à mis plus de 30 ans à construire, je vais donc me ruer sur ce deuxième tome.