Attention, Fantasy parodique hautement addictive ! Je ne suis pourtant pas un fana de ce genre de littérature (j'ai lu 1 Pratchett ha oui quand même...) mais là, force est de constater que j'ai été franchement emballé.L'inquiétude règne dans l'assemblée divine : le dieu Quitiane a disparu ! Son absence met en péril l'équilibre de l'univers, et les quatre dieux restants n'ont d'autre choix que d'envoyer leurs représentants en quête de leur frère disparu. Chacun désigne alors un Champion choisi parmi les plus valeureux habitants du Cratère dans les domaines de la guerre, du vol, de la magie et de la littérature Malheureusement, ces derniers ne correspondent pas exactement à ce qu'ils avaient espéré...
Le récit est truffé de référence à la littérature française classique (Rien que le titre déjà) ou à la politique (Un DIeu de l'Ultralibéralisme et de la Droite décomplexée
) ou à d'autre standards de la fantasy (j'ai bien vu le clin d'oeil à Michel Robert), et à plein d'autre chose encore , C'est un vrai plaisir de les chercher mais j'ai du en louper certainement...Sur le tard j'ai certainement compris que le Grand Hemji signifait SpoilerAfficher
MJ = Meneur de Jeu
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HF ?
Clavel excelle aussi dans l'art de l'énumération qui débute sérieusement puis part en vrille : On commence par jeter au héro victorieux dans l'arène des roses, puis un bébé, l'eau du bain, de l'argent par les fenêtres... Humour décalé entre Monty Pithon et les bronzés.
Petit défaut: a force de délire, on en oublierait presque qu'il y a une vraie histoire de fantasy et pleind de bonnes idées à exploiter dans un jeu de role, j'aime bcp Quar & Rac et leur lien téléphatique.
