le gouvernement décide de cryogéniser une centaine d'individus dans l'espoir qu'un remède soit trouvé dans le futur.
A leur réveil, le complexe scientifique c'est transformé en prison macabre envahie par des ronces acérées et peuplée de créatures sanguinaires.
Au fur et à mesure que la peur grandit, les conflits personnels et les luttes de pouvoir s'amplifient .
Les rescapés vont pourtant devoir s'associer pour échapper aux monstres et au virus médousa.
Commence alors une lutte effrénée pour la survie.
Mais combien d'entre eux mourront avant d'atteindre le monde extérieur et qu'y trouveront-ils?
ça a l'air pas mal comme ça! oui mais non! j'ai été très déçue sur tous les plans

En essayant d'être honnête, je ne suis pas "connaisseuse" - j'ai aimé tous les Myasakis, adoré "samourai champoing" shamploo, je ne sais pas ce que c'est ....
Il y a de belles images du "château", mais rien qui "scotche" ; j'ai trouvé le graphisme et surtout la colorisation un peu sommaires
les "écolières" sont parfaites, les "kids" aussi - mais ce qui est moins archétype me déçoit - les tatouages genre micronésiens auraient pu être mieux valorisés, le "black costaud" a une tronche floutée de patate expressive ....
La palette de couleur a l'air "pochette 8 couleurs maternelle" dommage pour les ronces ... un seul vert cru utilisé ....
Mais mon gros reproche est sur le côté " SF" -
je sais que je n'ai plus toute ma tête ... j'ai bien pensé ne pas avoir tout compris

mais je n'ai pas le courage de revisionner ...
Qu'est-ce qui fait qu'on se tape de la logique et qu'on entre dans une histoire avec "suspension d'incrédulité" (ex : les créatures fantastiques de Myasaki")
et qu'ici, ça n'a pas du tout marché? - la magie? ... peut-être le talent ... et la réceptivité du spectateur bien sûr

peut-être un mauvais équilibre entre fantastique et côté scientifique"
"Medousa" -en français, on utilise plus "gorgone" il me semble ?
ACIS = SICA en français : syndrome d' induration cellulaire acquis - on nous dit que c'est un virus
c'est ensuite que ça se gâte pour moi
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l'hypothèse qu'il soit créé par le labo et qu'il y ait un vaccin caché - OK
puis, on apprend que medousa est venu par une météorite et qu'il a décimé tout un village de Sibérie sauf une petite fille récupérée par le labo (Alice)- OK
médousa est un virus qui "accélère" l'évolution - OK! pourquoi pas ?
Médousa interfère avec le psychisme et cree des "alternatives" OK! pourquoi pas ?
ça aurait pu être super en s'en tenant à ça
mais "médousa" arrive sur terre dans un "emballage- cadeau" genre "kinder-surprise" ... donc, pas naturel ...
je n'aime pas la confusion entre la notion d'évolution et les alternatives psychiques
Ces "alternatives" peuvent être générées par des êtres "réceptifs" - 3 recensés pour l'humanité dans le film .... ce qui veut dire extinction de l'espèce!
les "alternatives" existent matériellement - rien ne se perd, rien ne se cree - d'où vient la matière?
on voit une cuve de "gloubi-bulga" mais c'est tout! rien ne montre que cette matière est utilisée! (yen a pas assez!)
bon, je chipote... mais juste que je n'y ai pas cru - et que j'aurais bien aimé
puis, on apprend que medousa est venu par une météorite et qu'il a décimé tout un village de Sibérie sauf une petite fille récupérée par le labo (Alice)- OK
médousa est un virus qui "accélère" l'évolution - OK! pourquoi pas ?
Médousa interfère avec le psychisme et cree des "alternatives" OK! pourquoi pas ?
ça aurait pu être super en s'en tenant à ça
mais "médousa" arrive sur terre dans un "emballage- cadeau" genre "kinder-surprise" ... donc, pas naturel ...
je n'aime pas la confusion entre la notion d'évolution et les alternatives psychiques
Ces "alternatives" peuvent être générées par des êtres "réceptifs" - 3 recensés pour l'humanité dans le film .... ce qui veut dire extinction de l'espèce!
les "alternatives" existent matériellement - rien ne se perd, rien ne se cree - d'où vient la matière?
on voit une cuve de "gloubi-bulga" mais c'est tout! rien ne montre que cette matière est utilisée! (yen a pas assez!)
bon, je chipote... mais juste que je n'y ai pas cru - et que j'aurais bien aimé