Méchant Garçon / Jack Vance
Posté : 20 sept. 2010, 14:11
Roman atypique dans la bibliographie de l’écrivain. Il s’attaque ici au thriller. Pas un poil de Troll, ni d’Ewocks dans ce bouquin. Par contre, on y trouve du suspense, du vice, de la paranoïa, et de la claustrophobie à foison.
Robert Wilby est un adolescent surcouvé par sa mère divorcée. Il a la réelle impression que tout lui est dû et maîtrise mal ses pulsions. Un jour il commet l’irréparable : il viole puis tue une voisine de quartier. Sa mère, le cache dans un réduit sous l’escalier de la maison. Il ne peut en sortir que par une petite trappe indétectable de l’extérieur. La police n’y voit que du feu, et laisse tomber les recherches.
Ronald commence alors une nouvelle vie, enfermé dans son réduit. Sa mère pourvoit à tous ses besoins. Jusqu’au jour ou elle meurt !
Une nouvelle famille vient alors s’installer dans la maison sans se douter que ses moindres faits et gestes sont épiés !
Habituellement le thriller n’est pas mon style de prédilection mais ici on a un roman court (265 pages) et efficace qui se lit en quelques soirées à peine. On a vraiment du mal à le lâcher. On aime haïr l’immonde Ronald
. Ca nous confirme encore une fois s’il le fallait tout le talent de Jack Vance quel que soit le style qu’il emploie.
Robert Wilby est un adolescent surcouvé par sa mère divorcée. Il a la réelle impression que tout lui est dû et maîtrise mal ses pulsions. Un jour il commet l’irréparable : il viole puis tue une voisine de quartier. Sa mère, le cache dans un réduit sous l’escalier de la maison. Il ne peut en sortir que par une petite trappe indétectable de l’extérieur. La police n’y voit que du feu, et laisse tomber les recherches.
Ronald commence alors une nouvelle vie, enfermé dans son réduit. Sa mère pourvoit à tous ses besoins. Jusqu’au jour ou elle meurt !
Une nouvelle famille vient alors s’installer dans la maison sans se douter que ses moindres faits et gestes sont épiés !
Habituellement le thriller n’est pas mon style de prédilection mais ici on a un roman court (265 pages) et efficace qui se lit en quelques soirées à peine. On a vraiment du mal à le lâcher. On aime haïr l’immonde Ronald
. Ca nous confirme encore une fois s’il le fallait tout le talent de Jack Vance quel que soit le style qu’il emploie.