Les tours de Samarante – Norbert Merjagnan – Lune d’encre
Les destins croisés de trois individualités atypiques dans un monde post-apocalypse. Le décor comprend une cité-état (Samarante), entourée d’un désert inhospitalier. Plusieurs tours mystérieuses cernent la cité.
Les protagonistes ainsi que les mythes et légendes sont nombreux mais ne sont que rarement détaillés et servent plus à construire une toile de fond solide qu’a enrichir le récit. Récit qui s’articule au fil des chapitres, autour des trois héros et de leur cheminement inéluctable vers un destin commun.
Mélange de high-tech et de barbarie le monde de Samarante ressemble à une pièce de théâtre crépusculaire, dans laquelle s’agitent et survivent des êtres qui ne sont pas tous humains. Et avant le tombé de rideau, les mystères, les missions et les destins sont révélés.
L’écriture est belle mais froide et je n’ai jamais pu ‘rentrer’ dans le livre comme je l’aurais souhaité. Mélange de mélancolie, d’images style ‘Désert des tartares’ et de technologies corrompues, on ne peut pas dire que l’univers de Samarante respire la joie et la bonne humeur. Ce n’est d’ailleurs surement pas l’objectif recherché ! Mais il ya peut-être une autre lecture de cet ouvrage qui ne m’est sans doute pas apparue clairement. A vous de voir.
Merci quand même à Mr Dumay qui ‘ose’ publier un auteur français. Que son nom soit sanctifié.
Les Tours de Samarante / Norbert Merjagnan
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- Sergent
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Les Tours de Samarante / Norbert Merjagnan
Modifié en dernier par thewitcher le 29 mars 2008, 23:31, modifié 1 fois.
- Supernounours
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- Sergent
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J'ai failli en parler... Le livre a une taille raisonnable et suffisante - 300 pages. Ouf, on est loin des tirages à la ligne anglo-saxons qui m’insupportent. Un très bon point.
Mais j'insiste sur le coté 'Buzzatti' (coté atmosphère), ce qui ne sera pas forcement du gout de tout le monde. Ceci étant, une comparaison à Buzzatti, ce n’est pas vraiment un reproche.
Mais j'insiste sur le coté 'Buzzatti' (coté atmosphère), ce qui ne sera pas forcement du gout de tout le monde. Ceci étant, une comparaison à Buzzatti, ce n’est pas vraiment un reproche.
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je l'ai acheté hier, ça doit être le seul exemplaire des hautes-alpes
moi, je l'ai trouvé plutot "maigrichon"
j'en ai lu 3-4 chapitres et je suis bien ferrée
j'aime bien le style -sobre et assez percutant,
pour l'instant, seul un des 3 persos m'agace, Je ne dis pas lequel!
et j'ai une certaine empathie pour les 2 autres
à suivre...
moi, je l'ai trouvé plutot "maigrichon"
j'en ai lu 3-4 chapitres et je suis bien ferrée
j'aime bien le style -sobre et assez percutant,
pour l'instant, seul un des 3 persos m'agace, Je ne dis pas lequel!
et j'ai une certaine empathie pour les 2 autres
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lectures en cours : Par delà la lue bleue de simon Green
vision : le Prisonnier
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voilou!, terminé- et à mon avis, c'est un très bon roman
L'atout principal est le rythme haletant, les 3 héros n'ont franchement pas le temps de "se poser" une seconde
et en corolaire, le défaut principal est la vision fragmentaire du monde,
forcément, à travers les 3 persos - super-biens campés
la toute fin avec les letais me déconcerte!
est-ce-que la trame du monde est remise en question?
une suite va-t-elle se greffer!?
En tout cas, c'est avec grand plaisir que j'ai lu ce premier roman,
merci, msieur Dumay!
je suis contente de pouvoir participer par mon achat à la découverte d'un tel auteur
edit : il y a un lexique à la fin -même pas vu, comme d'ab)
L'atout principal est le rythme haletant, les 3 héros n'ont franchement pas le temps de "se poser" une seconde
et en corolaire, le défaut principal est la vision fragmentaire du monde,
forcément, à travers les 3 persos - super-biens campés
la toute fin avec les letais me déconcerte!
est-ce-que la trame du monde est remise en question?
une suite va-t-elle se greffer!?
En tout cas, c'est avec grand plaisir que j'ai lu ce premier roman,
merci, msieur Dumay!
je suis contente de pouvoir participer par mon achat à la découverte d'un tel auteur
edit : il y a un lexique à la fin -même pas vu, comme d'ab)
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