La Pluie du Siècle / Alastair Reynolds
Posté : 09 mars 2008, 21:39
Connaissant Reynolds au travers de son cycle ‘Les inhibiteurs’, j’avais un peu laissé trainé le livre dans un coin, un peu inquiet d’être obligé de mobiliser un certain paquet de neurones pour attaquer le morceau.
Fausse alerte, on est deux crans en dessous et la lecture n’exige pas un doctorat en nanotech. Juste le DEA. Et surtout, bonheur, le livre est un roman unique. Ça c’est top, mais je savais que le sacrifice d’un Glenffidich 15 ans d’âge, un soir de pleine lune finirait par porter ses fruits.
Pour le reste c’est assez basique, les terriens ont fusillé leur planète (jusque là, ce n’est pas de la SF), et se sont divisés en deux camps, technophiles et technophobes. Reynolds rajoute une louche de technologie Alien avec des reliques qui sont en fait des portails de communication instantanée (c’est d’un classicisme…).
L’équilibre des pouvoirs s'écroule avec la découverte d’un instantané quantique de la terre en 1959, 3ème galaxie à droite, 1ère étoile à gauche, 2ème étage au fond du couloir. Plusieurs enquêteurs sont dépêchés sur cette bizarrerie et le grand foutoir commence.
Aucune idée transcendante, Reynolds recycle les classiques du moment, avec talent (c’est qui, lui ?) bien sur. Très lisible.
Nanotech et physique quantique… je me demande si la lecture dans quelques années (peut-être…) ne ressemblera pas à ce que je ressens maintenant quand je lis du Murray Leinster…
Fausse alerte, on est deux crans en dessous et la lecture n’exige pas un doctorat en nanotech. Juste le DEA. Et surtout, bonheur, le livre est un roman unique. Ça c’est top, mais je savais que le sacrifice d’un Glenffidich 15 ans d’âge, un soir de pleine lune finirait par porter ses fruits.
Pour le reste c’est assez basique, les terriens ont fusillé leur planète (jusque là, ce n’est pas de la SF), et se sont divisés en deux camps, technophiles et technophobes. Reynolds rajoute une louche de technologie Alien avec des reliques qui sont en fait des portails de communication instantanée (c’est d’un classicisme…).
L’équilibre des pouvoirs s'écroule avec la découverte d’un instantané quantique de la terre en 1959, 3ème galaxie à droite, 1ère étoile à gauche, 2ème étage au fond du couloir. Plusieurs enquêteurs sont dépêchés sur cette bizarrerie et le grand foutoir commence.
Aucune idée transcendante, Reynolds recycle les classiques du moment, avec talent (c’est qui, lui ?) bien sur. Très lisible.
Nanotech et physique quantique… je me demande si la lecture dans quelques années (peut-être…) ne ressemblera pas à ce que je ressens maintenant quand je lis du Murray Leinster…